La hausse du dollar et le ralentissement des économies asiatiques et sud-américaines ajoutés aux difficultés de sa chaine d’approvisionnement n’ont pas permis à ATR d’atteindre totalement ses objectifs. En 2015, constructeur franco-italien n’a livré que 88 des 95 avions prévus. Il conforte néanmoins sa première place sur les marché des avions de transport régional avec un chiffre d’affaires qui atteint pour la première fois les 2 milliards de dollars.
ATR a construit son succès sur la faible consommation de ses avions. L’effondrement des cours du pétrole n’est donc pas forcément une bonne nouvelle pour le constructeur franco-italien. Comme, elle ne l’est d’ailleurs pour aucun acteur économique à moyen terme. Bien au contraire…