Des élèves pilotes sur liste d’attente, un Cessna 152 qui ne peut servir pour l’instruction, telle est la situation ubuesque des Ailes Armoricaines. L’aéro-club breton, petite association de 20 membres, ne trouve pas son responsable pédagogique imposé par la réglementation européenne et craint de devoir bientôt fermer définitivement son hangar.