Paul Claudel est fasciné par l’avènement du transport aérien des années 30. Écrivain, la beauté mécanique d’un moteur ou d’une hélice d’avion attise son élan poétique. Diplomate, il est un des premiers « voyageur fréquent » des lignes aériennes naissantes. En 1937 il publie dans « Contacts et circonstances » un texte dédié à Paul-Louis Weiller, alors directeur de la Société des moteurs Gnome & Rhône et futur administrateur d’Air