Homme pressé, Paul Morand fut au milieu des années 30 un des premiers passagers réguliers des compagnies aériennes naissantes. Dans « Eloge du repos » dont Gérard Maoui lit ici un extrait, il consacre un chapitre à l’avion, ce nouveau moyen de transport qui, outre sa vitesse, permet d’observer à loisirs les paysages terrestres.