À propos Gil Roy

Gil Roy a fondé Aerobuzz.fr en 2009. Journaliste professionnel depuis 1981, son expertise dans les domaines de l’aviation générale, du transport aérien et des problématiques du développement durable est reconnue. Il est le rédacteur en chef d’Aerobuzz et l’auteur de 7 livres. Gil Roy a reçu le Prix littéraire de l'Aéro-Club de France. Il est titulaire de la Médaille de l'Aéronautique.

La filière aérospatiale française fait face

En 2016, l’industrie aéronautique et spatiale française a réalisé un chiffre d’affaires record de plus de 60 milliards d’euros, en hausse de +4,1%. Toutefois, 20 à 25% des membres du GIFAS affichent des pertes. Ce sont pour l’essentiel des PME-PMI impactées par la baisse des dépenses de défense ou par le marasme qui persiste sur les marchés de l’hélicoptère civil et de l’aviation d’affaires. Il faut

premium
La France prépare l’arrivée des avions électriques dans ses aéro-clubs

Cette année encore, les avions électriques étaient en vedette au salon Aero. Encore des promesses et surtout beaucoup de questions. Dans le but d’apporter des réponses opérationnelles, la Fédération française aéronautique va lancer avant fin 2017 une expérimentation grandeur nature, en exploitant un avion électrique dans une structure de type aéro-club. La FFA a réussi à entrainer dans son projet tous les acteurs, des régulateurs (DGAC et

22 commentaires
Aviation Générale

premium
Diamond choisit le moteur Safran SMA pour son DA50

Le nouveau monomoteur DA50 de Diamond Aircraft a effectué son premier vol, dans la plus grande discrétion, en juin 2016. Il est équipé du moteur diesel SR305-260E de Safran SMA (260 ch). Le constructeur autrichien vise la certification de ce modèle à 730.000 € au premier trimestre 2018. Le DA50 sera décliné en 4 versions, dont trois équipées de trois moteurs diesel Safran SMA différents (4

2 commentaires
Aviation Générale

premium
L’EASA prend le coavionnage sous son aile

A Friedrichshafen, l’Agence européenne de sécurité aérienne propose aux plates-formes de coavionnage un code de bonne conduite. La position dérogatoire de la France qui visait à verrouiller l’activité n’est (en principe) plus réglementaire tenable, d’autant que l’EASA estime que le coavionnage, au-delà de favoriser le développement de l’aviation légère, peut devenir un levier d’amélioration de la sécurité. Les deux plateformes françaises de coavionnage, Wingly et Coavmi,

27 commentaires