En août 1914, l’aviation de guerre n’existait pas encore, le métier de correspondant de guerre non plus. Le jeune Louis Audouin-Dubreuil entre dans le conflit comme hussard à cheval. Il est autorisé à conserver avec lui son appareil photographique. Il va rapporter de ces quatre années de guerre, trois albums regroupant des clichés légendés, datés et numérotés qui retracent son parcours de la Marne, à partir