Accueil » Aviation d'Affaires » L’aviation d’affaires française prête à jouer le jeu

L’aviation d’affaires française prête à jouer le jeu

L'EBAA France "appelle à une réflexion approfondie sur le système de taxation, le fléchage des bénéfices et la nécessité d’assurer la pérennité d’un secteur vital pour l’économie, l’emploi et la cohésion des territoires." © Dassault Aviation

Les professionnels français de l’aviation d’affaires réunis dans l’EBAA France accepte de participer à l’effort national pour redresser les comptes de la France, à condition que la charge soit « raisonnable ».

Depuis le début, le passage en force ne fait pas de doute. Depuis le début, chacun sait aussi que le gouvernement devra recourir à l’article 49.3 pour appliquer son projet de loi de finances 2025. Le passage par l’Assemblée nationale et bientôt par le Sénat, était obligé. Moins pour sauver les apparences, que pour respecter la Constitution.

A part donner un spectacle déplorable, députés et sénateurs ont fait quelques propositions constructives qui pourraient...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

Un commentaire

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Démagogie quand tu nous tiens, ces augmentations de charges ne servent à rien … compte tenu du niveau d’imposition des sociétés, ou vous fautes du bénéfice ou vous êtes en déficit…Dans ce dernier cas vous n’avez pas les moyens d’avoir un avion « d’affaires » si vous êtes « in bonis » compte tenu du niveau d’imposition ou de taxes… que cela soit prélevé ici ou ailleurs, peu importe.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.