Sur le moteur Pearl 10X de Rolls-Royce, la chambre de combustion emploie la fabrication additive afin de réduire les rejets polluants. © Rolls-Royce
Commençons par un nombre qui plante le décor : 80 kN de poussée. Que l’on veuille voyager vite (Mach 0,925) ou loin (de Paris à Santiago du Chili), il faut des moteurs puissants. Ceux du Falcon 10X fourniront « plus de 18 000 livres » (plus de 80 kN, donc). C’est ce qui serait adapté, dans l’aviation commerciale, à un jet moyen-courrier de 90 places.
Rolls-Royce reste pour l’instant discret sur les caractéristiques du turboréacteur Pearl 10X. Il sera vraisemblablement très proche du Pearl...