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A son retour d’un meeting aérien au Tyrol, le Microjet Bede BD-5J des Flying Bulls s’est écrasé dans un champ, ce mercredi 1er Mai. Le pilote, après avoir tenté un atterrissage d’urgence, est mort dans l’accident.
Alors qu’il survolait le village d’Uderns, situé à une trentaine de kilomètres au Nord-Est d’ Innsbruck, Guido Ghermann, pilote du petit monoréacteur Microjet Bede BD-5J du team Flying Bulls, a signalé des problèmes techniques à la tour de l’aéroport d’Innsbruck-Kranebitten, et qu’il allait tenter un atterrissage d’urgence, qu’il pensait possible sur l’autoroute A 12.
Aussitôt, l’autoroute a été neutralisée mais dans le même temps, le pilote tentait un atterrissage d’urgence dans un champ. Waltraud Klingenschmid fut témoin des dernières minutes du vol « je rentrais à la maison en voiture et tout s’est passé devant mes yeux. J’ai vu l’appareil qui tentait de se poser dans un champ. Au départ, il était encore relativement haut, mais il a perdu rapidement de l’altitude et a labouré la route entre les arbres »
Ce même témoin a rapporté mercredi soir au quotidien local « Tiroler Tageszeitung », que c’était un miracle qu’il n’y ait pas d’autres victimes sur cette route de campagne assez fréquentée. Par ailleurs, l’épave disloquée a terminé sa course à quelques dizaines de centimètres d’une voiture en stationnement. Il ajoute que malgré la présence d’un médecin qui passait par hasard sur les lieux de l’accident et qui n’a pas pu intervenir, le pilote n’a pas survécu à ses blessures.
Pompiers et police se sont rendus sur place et ont rapidement sécurisé le site de l’accident. Des experts venus de Vienne sont également sur place pour diligenter l’enquête. Même si le pilote a annoncé des problèmes moteur lors de sa communication avec les contrôleurs d’Innsbruck, toutes les hypothèses restes plausibles et seront inventoriées par la commission d’enquête.
Le Microjet Bede BD-5 que pilotait Guido Ghermann appartenait à la collection Flying Bulls du patron de Red Bull. Ce monoplace, considéré comme le plus petit avion à réaction du monde, a été popularisé par un épisode de James Bond. Avec une masse maximale au décollage de 544 kg, il était équipé d’une turbine développant 150 kg de poussée. Il avait été construit en 1988. Il avait une vitesse de point de 460 km/h.
Philippe Chetail
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comme il est facile de dire n'importe quoi et de faire la leçon quand on y connait manifestement rien...avez-vous deja vu un BD5 de près, et avez-vous une idée du domaine d'utilisation d'un parachute pyrotechnique! un BD5 est loin d'un ULM, en masse et en vitesse...quand à la finesse du BD5, elle n'est pas celle d'un planeur, certe, mais bien meilleure que celle d'une navette spatiale, qui pourtant, se posait sans moteur...
Crash du Microjet BD-5 des Flying Bulls
Ça doit planer comme un pavé ce truc! Encore un "faiseur de veuves". En planeur certifié on part toujours avec un para sur le dos et j'en connais pas mal qui lui doivent d'être toujours en vie. Condoléances à sa famille.
Crash du Microjet BD-5 des Flying Bulls
Un triste sort pour une bien belle aventure, nos condoléances à la famille de ce Monsieur qui nous a fait rêver et qui aura montré son courage jusqu'au bout.
Que Dieu le garde.
Crash du Microjet BD-5 des Flying Bulls
un crashpour un pilote c'est un temps t, et cela va très vite!!!!! si la chance sourit, ça
passe, autrement c'est le départ pour d"autres cieux!!!!!! , il faut toujours être humble
sur le sujet!!!!!
j"adresse à la famille de ce pilote mes sincères condoléances
camille ratel
Crash du Microjet BD-5 des Flying Bulls
S il avait eu un parachute à l avion, dans ce cas précis, et si le bon sens l emportait parfois plus souvent, les conséquences auraient été moins grave. Evidence.
Crash du Microjet BD-5 des Flying Bulls
Le commentaire de rouleta.... Est nul !!!! Encore faut-il avoir l'altitude requise....? Commenter un accident tragique en voulant donner des leçons est indigne, comme ce pseudo derrière vous vous cachez...
Crash du Microjet BD-5 des Flying Bulls
sauter en parachute ne fait pas partie des principes de bien des pilotes qui n'ont jamais fait de parachutisme, mais sur un appareil qui n'avait rien d'un planeurs il était tout à fait possible de mettre un parachute global, surtout quand l' aéronef concerné a une très mauvaise réputation de fiabilité de sa motorisation.
combien de BD5 ont terminé ainsi ? combien en reste t-il ? ne serait-il souhaitable d'imposer le parachute global sur des appareils qui ont mauvais réputation. nos amis allemands l' imposent sur les ULM qui présentent beaucoup moins de danger que le BD5...pour garder nos amis, il est parfois nécéssaire d' imposer, les accidents n' arrivent pas qu'aux autres.
Crash du Microjet BD-5 des Flying Bulls
Un personnage attachant et charismatique. Toujours le sourire aux lèvres et l'enthousiasme communicatif. Il avait écrit un jour que sauter d'un avion ne faisait pas partie de ses principes. Dieu te garde ami pilote.