A partir de septembre 2007, ll’IPSA, Institut Polytechnique des Sciences Avancées, formera à Toulouse des » Experts en ingénierie des Systèmes Aéronautique et Spatiaux « .
Dès la rentrée scolaire 2007, l’IPSA, Institut Polytechnique des Sciences Avancées, s’installera à Toulouse pour y former des » Experts en ingénierie des Systèmes Aéronautique et Spatiaux « , tout en se rapprochant évidemment du plus grand pôle européen aéronautique. » En allant à Toulouse, nous donnons à l’IPSA une extension dans une région où plus qu’ailleurs elle peut trouver un contexte industriel propice à son développement « , déclare Marc Sellam, président du Groupe Ionis (crée il y a 46 ans, l’IPSA a rejoint le groupe IONIS en 2000). Le cursus de cet institut est accessible aux élèves de terminales S et STI, en 1ère année de classes préparatoires au cycle d’Ingénierie (CPI) et, en admission parallèle aux élèves du supérieur de Bac + 1 pour la deuxième année du CPI.
A la rentrée 2006, les effectifs sont passés à 830 élèves et un Département Recherche a été créé avec ses nouveaux laboratoires de Mécatronique et Calcul de structures. Ces évolutions placent l’Institut au cœur d’une formation à la fois spécialisée dans les différents domaines de l’aéronautique et de l’espace, mais aussi généraliste ; elle permet aux titulaires du titre IPSA d’exercer un métier dans des domaines de pointe très variés tels que l’énergétique, le calcul de structures, l’avionique et l’informatique embarquée, les systèmes de commandes, les systèmes de communications et de détection, la maintenance et la logistique industrielle. Ces dernières années auront vu l’Institut se métamorphoser en une grande école d’ingénierie aéronautique et spatial, et obtenir de la Commission Nationale de Certification Professionnelle (depuis 2005) le titre de niveau I (Bac+5): d’Expert en Ingénierie des Systèmes Aéronautiques et Spatiaux.
A noter que pour la première année sur Toulouse, le nombre d’admissions sera limité : les inscriptions ont commencées sur Paris depuis le 1er janvier.
Gil Roy. Aviasport N°626 / Mai 2007
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