Créée par une poignée d’exploitants de drone, en juin 2013, la Fédération Professionnelle du Drone Civil (FPDC) compte déjà plus de 200 membres. Elle entend être partie prenante dans l’évolution réglementaire en cours. La formation des télépilotes est également une de ses priorités. Un an après la création de la fédération, Emmanuel de Maistre, son président-fondateur, fait le point.
Aerobuzz.fr – La Fédération Professionnelle du Drone Civil (FPDC) a vu le jour en juin 2013, dans la foulée du salon du Bourget. Un an après sa création, combien compte-t-elle de membres ?
Emmanuel de Maistre – Le bilan est très positif. La Fédération compte plus de 200 membres et nous continuons...
4 commentaires
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La Fédération du drone civil : un an d’existence et 200 membres
Ces drones me donnent vraiment l’envie de me mettre a la chasse.
La Fédération du drone civil : un an d’existence et 200 membres
Je ne vois pas franchement le rapport entre « les drônes » et la chasse ?
Cordialement
Roger MATHIEU
La Fédération du drone civil : un an d’existence et 200 membres
Vous avez raison Michel, il n’y a pas que le théorique ULM qui mène au télépilotage, mais De Maistre est très certainement au courant! C’est sûrement le journaliste (Gil?) qui a dû faire quelques coupes dans son texte pour aller à l’essentiel, ce qui est globalement très bien réalisé…
Rien de bien grave, parce que le théorique ULM est le plus couru pour les futurs télépilotes. C’est certes la qualif la plus simple à passer…
Par contre, là où ça pose problème, c’est que certains professionnels du drone proposent des cours pour passer cette qualification à des prix indécents!
Pourtant, les élèves peuvent : soit le passer en candidat libre donc quasiment gratuitement mis à part l’achat du bouquin et l’inscription à l’examen, soit, se faire aider par de vrais instructeurs ULM à prix bien moindre.
La FFPLUM, fédération des ULM (dont autrefois j’ai fait partie du comité directeur) commence à voir d’un mauvais œil ces formations théoriques ULM « à l’arrache » malgré des tarifs prohibitifs par des personnes n’ayant parfois jamais mis le pied dans un ULM!
Autre problème non évoqué : l’activité drone attire de nombreux prétendants, dont la plupart sont en auto-entrepreneurs. Cela rappelle à quel point les français sont dynamiques et créateurs! Mais le marché actuel a-t-il les moyens d’absorber autant de professionnels du drone dans ce cadre réglementaire?
Selon la DGAC, il se créé à peu près une structure par semaine… et il en disparait autant…
Voilà une autre façon de voir les choses…
La Fédération du drone civil : un an d’existence et 200 membres
« D’un point de vue strictement réglementaire, si le télépilote ne possède pas de licence de pilote d’aéronef, il doit obtenir le certificat théorique du brevet de pilote d’ULM. »
C’est faux ! L’arrêté demande au télépilote de posséder un certificat d’aptitude théorique. Mais pas forcément le théorique ULM.
Monsieur de Maistre devrait le savoir…