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La start-up Airhart veut révolutionner l’aviation légère avec son Sling modifié

Le Sling TSi conserve son moteur Rotax 915 iS tout en devenant semi-automatique. Les ordinateurs se chargeront de la gestion du vol et des systèmes de l'avion. © Airhart Airplanes

Plus de palonniers, mais un mini-manche, quelques écrans tactiles et des ordinateurs pour gérer le vol et les systèmes de l'avion à la place du pilote. C'est l'ambition d'Airhart Airplanes qui veut mettre sur le marché en 2026 un Sling quadriplace largement modifié et quasi automatique.

Le but affiché de la start-up californienne Airhart Airplanes est de démocratiser l’aviation légère en mettant sur le marché un avion quadriplace  que « tout le monde peut piloter. » L’ équipe de la start-up, formée d’anciens employés de SpaceX, Apple et même un étudiant en robotique passé par l’institut d’ingénierie de Grenoble, et dont la moyenne d’âge ne doit pas dépasser 35 ans, ambitionne de « construire l’avion le plus avancé de l’industrie » tout en mettant en priorités...

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6 commentaires

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  • Ne vous inquiétez pas car à 500 000$US nos aéro-clubs ne seront pas nombreux à proposer ce type de quadriplace à combien d’euros l’heure de vol ?????

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  • en voila une belle idée ! , et comme , tout le monde le sait , un monomoteur ne tombant jamais en panne , les vrais faux pilotes n’ont pas besoin d’apprendre le pilotage en vol plané , l ordinateur va tout gérer …lol

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    • Je soupçonne Fabrice Morlon, en choisissant de traiter cette info, de faire (un peu) dans la provocation ! Cela ne m’étonne pas de quelqu’un qui aide voler en Piper J3 !

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  • « Pilotable par tout le monde ». On est très loin du Pou du ciel des années 1930 dont le papa revendiquait cet objectif et qui a surtout provoqué un certain nombre de morts.
    En tant que vieux-pilote-privé-de-l’usage-de-ses-jambes je devrais me réjouir de cette promesse de voler sans avoir à affronter la barrière de plus en plus solide de la certification d’un malonnier.
    Ben non ! Un avion qu’on ne pilote plus, ça ne m’enthousiasme pas. Déjà la prolifération des écrans et des trucs qui vous empêchent de vous perdre, ça me frustrait un peu, mais là, l’étape inévitable est franchie : on est sorti de la belle époque, il est temps que je rentre au musée moi aussi. Ce sera dans les réserves, car je n’ai pas la vanité de m’y voir dans les collections permanentes.

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  • … avec de tels automatismes en série, espérons que les sièges couchettes ne seront pas en option 😉

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