La DGAC compte 200 agents volontaires pouvant à tout moment se retrouver à enquêter à chaud sur un accident aérien d’aviation générale. La revue mensuelle de la DGAC consacre un article à ces enquêteurs de première information (EPI).
Ils sont discrets et pourtant leur rôle est primordial lorsque survient un accident aérien, plus particulièrement en aviation générale. Ils doivent pouvoir se rendre sur les lieux le plus rapidement possibles pour réunir les indices qui permettront d’expliquer ce qui s’est passé. Leur mission est d’autant plus importante que les avions légers, les hélicoptères, les planeurs ou les ULM ne sont pas équipés de boîtes noires. Pour comprendre, il faut observer l’épave, inspecter les environs et interroger les témoins.
Un commentaire
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Le BEA veut élargir le recrutement des EPI de la DGAC
ANCIEN PNT RETRAITE, JE SUIS BENEVOLE AU SEIN DE LA SNSM.
LA SNSM PEUT ËTRE AMENEE A INTERVENIR SUR DES ACCIDENTS AERIENS EN ZONE COTIERE,DE NOMBREUX AEROPORTS FRANCAIS ETANT COTIERS.
AYANT UNE ACTION DANS LE DOMAINE DE LA FORMATION DES MEMBRES D’EQUIPAGES DE LA SNSM ET DES PATRONS DE VEDETTES, JE SOUHAITERAIS METTRE EN PLACE UN MEMORANDUM DE PROCEDURES A RESPECTER FACE A CE TYPE D’ACCIDENTS.
POURRIEZ VOUS M’ORIENTER EN CE SENS