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Le drone, outil de gestion de crise… sous dérogation

Les services de secours suivent avec une certaine frustration les progrès des drones. Les budgets publics ne suivent pas l'innovation. © Yuneec

Depuis l’incendie de Notre-Dame-de-Paris, la démonstration de l’efficacité des drones dans la gestion de crise ne fait plus débat. Reste à lever de nombreux freins pour généraliser le recours à ce moyen aérien léger et économique. La réglementation n’est pas le seul verrou à faire sauter.

Dans les heures qui ont suivi l’incendie hyper médiatisé de Notre-Dame-de-Paris, le standard téléphonique des pompiers de Paris a surchauffé. Tous les services de secours avaient des questions pratiques et recherchaient des contacts au sein des Pompiers de Paris. Les appels arrivaient du monde entier. Dès le lendemain de l’événement, il a fallu couper la ligne, d’autant que les drones qui ont aidé les pompiers à visualiser les parties tombées de la cathédrale n’étaient pas mis en œuvre par les...

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2 commentaires

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  • par Lt Col(er) Roger DROUIN

    Monsieur Gil Roy, bonjour.
    Quand je lis votre article, j’ai l’impression que les évènements que vous décrivez sont un copié/collé de ceux que j’ai relatés dans le tome 1 de mon « Aventure au quotidien » (Editions complicités) quand Fouché pour la Gendarmerie, Curis pour la Sécu et Duhamel pour l’EDF, se battait pour imposer aux états-majors sourds, aveugles et timorés, l’usage de l’hélico léger… C’était il y a 70 ans… L’histoire se répète et les hommes n’en ont rien appris !!! C’est DESOLANT !

    Répondre
    • Pas tout à fait : le drone n’est qu’un robot plus ou moins volumineux, le drone aérien tient de l’hélicoptère miniature radiocommandé avec le moyen moderne de la téléphonie cellulaire du smartphone…

      Idem pour les robots terrestres miniatures et moins visibles les drones marins et sous marins…

      Répondre

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