Accueil » Aviation Générale » L’EASA propose un « Basic IR »

L’EASA propose un « Basic IR »

Le cockpit du Textron Beechcraft King Air C-90GTx équipé de la nouvelle suite avionique Rockwell Collins Fusion. © Textron Aviation

L'EASA a publié le 9 novembre 2016 une proposition ouverte à commentaires pour " un accès facilité aux règles de vol aux instruments pour les pilotes de l'aviation générale " (NPA 2016-14). L'objectif de cette proposition de modification est d'offrir un accès facilité à l'IR (Instrument Rating) de base pour des vols mono et multi-moteurs à piston pour des vols non commerciaux.

L’amendement propose donc la mise en place d’un «Basic Instrument Rating (BIR)», qui est une qualification pour voler selon les règles de vol aux instruments (IFR), mais avec des exigences moindres par rapport à l’IR traditionnel, et adapté aux besoins des pilotes « d’aviation générale. »

Les éléments clés du BIR sont les suivants :

– Une formation entièrement orientée sur les compétences. Pas d’exigence heures minimum fixée pour le BIR. Toutes les compétences requises pour un vol IFR seront regroupées dans une formation...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

6 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Deja, apprendre a piloter aux instruments, pour se sortir de la « M..de »,
    Tenir des parametres stables et savoir se sortir de positions unusuelles..
    Avant de parler de percee NDB
    ou se prendre pour des pilotes de ligne au milieu de l Atlantique…
    Cela ne sera deja pas si mal..
    Porco

    Répondre
  • Bravo, on essaie enfin de faire quelque chose d’ utile…
    il manque un aspect important qui est celui de la langue.
    La France est un grand pays et améliorerait grandement le nombre de personnes intéressées par cette formation en autorisant l’utilisation de la langue nationale et en n’ exigeant l’anglais que pour les vols intra-européens.

    Répondre
  • j’ai passé IR avec succès il ya 3 ans.
    Le vol IFR demande une pratique courante et nécessite la connaissance des basiques dans l’utilisation de l’espace aérien.
    il ne sert à rien de se former aux percées NDB ;,c’est compliqué, hasardeux, et les installations seront bientôt supprimées.
    Mais le plus important est de voler sur un avion bien équipé avec: PA , Glasscokpit ,un deuxième transpondeur est préférable à un ADF, et un GPS dont il faut maitriser parfaitement l’utilisation.Une compétence GNSS est indispensable à la sécurité d’un pilote amateur.

    Répondre
  • À mon humble, il suffit simplement de simplifier le théorique car c’est la chose la plus fastidieuse quand on a pas forcement beaucoup de temps à y consacrer. Le Cb Ir est une très bonne formation, je ne pense pas que ce soit une bonne idée de faire une sorte d’entre-deux. En effet, l’IFR c’est de la méthode et cela requiert une pratique courante pour conserver ses compétences donc une formation avec de solides bases est nécessaire.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.