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Que 2024 électrise l’aviation légère !

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Tout ce qui vole l'attire. L'électrique aussi évidemment. Fabrice Morlon, le pilote professionnel de la rédaction, a demandé au Père Noël (peut-être aurait-il du envoyer sa lettre à l'EASA) que d'autres constructeurs aéronautiques proposent une alternative au Velis Electro de Pipistrel. Il pense évidemment à Diamond Aircraft, Bristell et Aura Aero qui s'apprêtent à commercialiser leur avion CS/PART 23.

Encore une année passée sans tracas de concurrence pour Pipistrel (désormais Textron) et son Velis Electro, seul avion électrique certifié au monde. En juin 2020, l’avion électrique a été certifié EASA puis, deux ans plus tard, certifié CAA en Grande-Bretagne. Aux États-Unis, l’avion progresse doucement vers une certification mais vole actuellement sous « licence expérimentale », la FAA n’ayant pas encore donné son feu vert. Bientôt quatre ans de monopole au royaume de la fée électricité pour un...

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2 commentaires

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  • Arrêtons de vouloir être à tout prix politiquement correct… Et soyons réalistes et pragmatiques: L’électricité est une mauvaise, très mauvaise solution, onéreuse et sans avenir, pourquoi :
    – tant que les batteries seront aussi lourdes, peu performantes, mangeuses de « terres rares » et de produits très toxiques, aucun avenir..
    – Tant qu’il n’y aura pas assez d’électricité (de centrales nucléaires) il faudra bien évidemment privilégier le chauffage des habitations, puis, si possible, celui des trains et autres véhicules terrestres, l’aviation arrivera bien évidemment en bout de chaine, toujours aucun avenir à court ou moyen terme.
    – Mais il faut avoir de l’avance, et chercher une solution, l’hydrogène en est une, à condition de savoir en produire et en stocker à bas coût, et là il faut encore une 20 ène d’année..ou peut être moins, et là il y a de l’avenir, au lieu de dépenser des sommes et des énergies considérables pour une solution électrique déjà dépassée, l’argent peut être mieux employé.

    Répondre
    • J’adhère sans restrictions aux propose de jlangeard en y rajoutant le facteur du traitement ou stockage des batteries usagées. Les métaux participants à la fabrication des batteries sont rares et par là seront de plus en plus rares.
      Je ne néglige pas le fait que les industriels développeront autant que possible la récupération de ces métaux sur les batteries usagées.
      Jusqu’au jour où dépassées par l’hydrogène (ou autre chose) elles seront des déchets sans intérêt polluant nos campagnes.

      Répondre

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