Ceux qui pensaient que le composite aurait raison du DR400 en sont pour leurs frais. Sous l’impulsion de Nogaro Aviation, le plus populaire des avions légers français connaît une nouvelle jeunesse.
Les performances prometteuses du DR400 équipé d’un moteur Rotax 912iS de 100 ch laissent espérer le meilleur en ce qui concerne le DR400 équipé de la version 915iS de 135 ch. A Nogaro, Gilles Aurensan aurait-il trouvé l’accord parfait ? Avec le moteur compact développé par Rotax, Nogaro Aviation redonne espoir aux propriétaires de DR400, au premier rang desquels figurent évidemment les aéro-clubs français qui se désespèrent de voir leur flotte vieillir.
5 commentaires
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La certification signifie que le Ministre a certifié la sécurité du biplace. Le DR400 et ses nouvelles versions ont donc atteint le niveau de sécurité demandé par la FAR23. Il n’y pas égalité de traitement par l’état entre les offres commerciales industrielles d’un avion certifié et un ULM biplace aux formes glamour. Je connais la réponse de l’énergie en vol plus faible : 1/2 MV² avec la masse limitée à 450 kg et la vitesse de décrochage faible. Mais cette règle n’est pas respectée et de plus certains ULM dit « plastiques » croisent à 250km/h et où sont pour les ULM, les essais statiques de structure qui garantissent la résistance, les essais en vol qui garantissent la robustesse aux pertes de contrôles et une saine stabilité, la calibration de l’altitude pour la séparation en niveau … Comment le Ministre peut accepter une telle différence de traitement entre des catégories d’avion si voisines?
Pardon d’apparaitre un peu péremptoire et de radoter, parfois…
Le cœur d’un dispositif commercial est le CLIENT.
Sauf à penser que nous sommes schizophrènes, à savoir je suis le client râleur le matin et l’employé – ou le patron – à la place du fournisseur l’après midi, nous préférons la facilité et renvoyer la responsabilité de l’inconfort au mieux, du dysfonctionnent à l’autre.
Qui veut bien commencer pour communiquer et améliorer l’expérience UTILISATEUR ?
Bons vols !
Désolé j’oubliais : à propos des turbulences ou de la visibilité, allons-y, râlons pour de bon, on est certain de ne mettre personne en cause ! Joyeusement…
En plus de tout cela , un rapport puissance /charge offerte encore jamais inégalé ;
Un vieillissement inégalé , en plus …
Un potentiel de cette marque qui n’est pas exploité …
Bonjour,
Le DR400 est une très bonne machine. Il est par contre dommage que Robin n’ait jamais cherché à améliorer des petits détails qui pourissent la vie des mécanos. Dans le hit : Les vis à tête fendues des carénages au lieu de vis allen ou Torx. Les vis à bois dans le contreplaqué qu’il faut démonter à chaque 100h et qui tournent dans le vide , au lieu de vis métriques avec inserts.La troisième charnière de Tab qui se bouffe car il n’y a pas de rondelle d’appui entre les deux parties. Les filtres du circuit de dépression placés à un endroit impossible derrière le tableau de bord. Le système de commande du levier de volet de réchauffage carbu assymétrique qui prend du jeu et arc boute le câble de commande. Un procédé d’entoilage qui craquelle aux jonctions coffrage/parties vides (une STC avec peinture souple existe maintenant). La non disponibilité de pièces de rechange au mois d’Août alors que c’est là qu’on en a le plus besoin. Toutes ces petites choses, dont CEAPR, aurait dû les faire depuis longtemps.
Pilote du w-e, 77 ans….15 ans de Dr…., tout à fait d’accord avec Didier…. dommage que tous les avis des connaisseurs….ne soit pas pris en compte, au vu de toutes les critiques…on devrait avoir un super DR…pour pilotes de 15 a 99 ans…qui volent en regardant dehors.
Amitiés à tous.