De sept personnes en 2017, Safetyn devrait recruter en 2018 pour passer à 20 salariés © Airbus
Depuis 2015, le BizLab d’Airbus accueille à Hambourg, Toulouse et Bangalore des start-up venues du monde entier et qui portent un projet, une idée innovante en lien avec le milieu de l’industrie aérospatiale, sans être encore passées au stade de la commercialisation. Le BizLab joue alors un rôle d’accélérateur en facilitant les échanges avec des investisseurs, des partenaires industriels et le réseau des start-up formé par Airbus. L’objectif est de s’assurer que le projet sera commercialisable au terme d’une première...
6 commentaires
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Que défendent en fait des pilotes qui dénigrent des moyens de navigations modernes, sûrs et éprouvés et qu’on peut facilement « doubler » en secours (comme avec une tablette et un programme de navigation) ?? Comment peut-on préférer l’insécurité d’une nav au cap et à la montre, quand on peut faire autrement ?
A mon avis, ils défendent leur jeunesse et leurs rêves (et une image de d’eux même « en pilote »), mais ils souffrent en fait d’un manque de lucidité et peut-être « d’obsolescence » 😉
Toutes les solutions qui permettent aux pilotes d’améliorer leur conscience des risques sont bonnes à étudier, de surcroît si de telles solutions sont issues de l’expérience-même des pilotes car nous nous retrouvons souvent seuls en « première ligne » avec beaucoup d’informations complexes à gérer dans un temps qui nous manque cruellement dans bien des situations, donc curieux de voir à quoi ressemblera cette Safetyn box… En tout état de cause, il est plus que bienvenu que des sociétés françaises apportent ainsi leur pierre à l’édifice sur de tels sujets, alors je profite de cette période de vœux pour apporter les miens à cette équipe ainsi qu’à tous ceux qui œuvrent à améliorer notre sécurité !
Dans l’article il est écrit entre autres : développer le sens du vol pour les pilotes d’aviation commerciale en volant à bord d’avion légers…
Je pense que l’outil n° 1 pour cela est et restera le vol à voile…
Oui, La bille et le badin….ça suffit. Comme sur mon avis flyer
Que ceux à qui cela ne suffit pas reste au sol
Car le jour où tous ces gadgets tombent en panne
Il ne reste que cela pour piloter
Je connais un pilote avec qui j’ai volé récemment qui
Refusait de voir le terrain au dessous de lui car le GPS
le localisait 5 km plus au nord. C’est grave, très grave
Jp Francou
Je confirme et plussoie ! Avec, quand même, la carte et un peu de radionav.
Au cours d’un lâcher machine avec un « jeune » pilote entre LFMT et LFMV , on lui a coupé le GPS (à Tarascon, c…) et demandé où l’on se trouvait : panique, il ne savait pas.
En 89, sans revenir aux temps préhistoriques, les participants d’Air Solidarité y sont allés avec, bien souvent, qu’avec un VOR et un radiocompas et ne se sont pas perdus.
L’utilisation à outrance des aides électroniques conduisent à une perte de vigilance.
Il faut bien que Goliath trouve des idées de quelque part…