Son Rans S-9 Choas perd une aile lors d'une ressource en vol dos. Il déclenche son parachute balistique. Voir la vidéo. Lire l'analyse d'Adam Shaw (patrouille Captens)
L’accident s’est passé le 15 août 2010, en Argentine, lors d’un meeting aérien. Un jeune pilote de 22 ans effectuait une démonstration musclée de voltige quand l’aile droite de son monoplace Rans S-9 Chaos s’est cassée. Le pilote a juste eu le temps de déclencher son parachute BRS (ballistic recovery systems). Il sort indemne de ce crash. Le Rans S-9, proposé en kit, peut encaisser des facteurs de charge compris entre +6g et -4g.
7 commentaires
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Sauvé par son parachute BRS
Bonjour.
Bon je suis moi même pilote d’avion ET constructeur d’un avion de voltige intermediaire, biplan et biplace dont les limites sont +/- 9G, c’est un acroduster too SA750. il sera équipé d’un EIO360 A1B de 200CV
Cett avion c’est moi qui vai donc le piloter donc inutile de préciser l’attention et le soin que j’apporte à la fabrication de ce piege dans tous les élément structuraux. Mes connaissances en résistance des materiaux et en construction aeronautique m’amène pourtant a modifier et renforcer certains points les jugeant trop juste par le calcul (attache de cabane, attache d’aile, tube de compression des ailes, butée d’aileron et renvoi de gouverne d’aileron), la conception de ce piege date du début des années 70 donc je l’allège sur tout les points non structuraux, (utilisation de fibre carbone) et il est certain que je vais installer ce type de parachute car même en respectant et en restant dans les limites de vol d’un appareil on est pas a l’abrit de se retrouver dans un condition accidentelle et qu’il soit certifié ou pas ça peut casser ( cap232 ou autre bel oiseau) . après une casse a 1000 pied sol je ne veut metre personne au défit de se sortir de l’appareil avec une marge suffisante pour l’ouverture du parachute. Cher ami ULMiste longue vie a vous et que nous soyons pilote d’avion ou d’ULM nous partageons la même passion, celle de voler et dans les deux camps, il y a des vieux pilotes, il y a des pilotes culotés mais il n’existe pas de vieux pilotes culotés.
Duster38 pilote avion et constructeur
Sauvé par son parachute BRS
vive les ulm et leurs pilotes et merçi au parachute;quoi qu’on en dise ,les pilotes ulm connaissent leurs limites et aussi celles de leur jouet.Certifié n’égale pas sécurité:que du contraire.
Sauvé par son parachute BRS
Instructeur voltige sur E300, je suis impressionne par les figures effectuees par cet Ulm et la qualite du pilotage. Mais un Ulm ne sera jamais assez solide pour ce genre de cabrioles, poids oblige. Et surtout, la formation en Ulm est plus « light » qu’en avion et il faut eviter a tout prix que des pilotes non experimentes se lancent dans des manoeuvres qu’ils ne maitrisent pas
Sauvé par son parachute BRS
Effectivement on comprend mal cette critique de l’ULM au passage surtout quand on signe Captens et que l’on connait le nombre de rupture de Cap 10 en voltige ou autre grave accident en voltigede cette machine, dument certifiée pourtant,et merveilleuse machine par ailleurs.Je pourrais citer d’autre avion de voltige ayant eu des ruptures du Zlin au Cap 232 pourtant +10/10
Il faut que le pilote connaisse son avion,sache l’utiliser,et ne sorte pas de son domaine de vol qu’il s’agisse d’un Avion ou d’un ULM.Et malgré cela il peut encore y avoir une part pour l’imprévu.
Le parachute une fois encore est à la hauteur de cet imprévu.
Claude.Inter voltige,instruct avion, ULM.
Sauvé par son parachute BRS
Encore une diatribe d’un hallatoya de l’aéro, mais émaillée d’inexactitudes.
En France, la voltige ulm n’est ni autorisée ni interdite (voir demontration a Blois d’une parouille de « camions ulm »). Ensuite, l’aile ne se détache pas « malgrés » le hauban, mais justement parceque le hauban flambe en compression et casse! Il est certain que le pilote est allé au bout des limites de la machine par exitation ou inexpérience!
Si je ne suis pas un fervent partisant du parachute cas sa finalité est dévoyée, il est des cas ou il est un vrai plus, et celui là en est un. Je ne sais pas si le pilote aurai pu sortir avec un simple dorsal!
Il est désagréable de recevoir une fois de plus des leçons anti-ulm par un pilote, certe qualifié, je n’en doute pas, mais qui visiblement ne connais pas bien ou méprise cette categorie d’aéronefs, mais ne peux s’empècher de donner des leçons.
On est pas au bar de l’aéroclub!
Christian. Inst. ulm. 3500 h.
Sauvé par son parachute BRS
On se demande pourquoi les deux premiers paragraphes de l’analyse d’Adam Show commence par une critique en règle du mouvement ULM en amalgamant le ciel Argentin et Européen.
Il aurait été plus opportun de souligner la rapidité du déploiement du parachute structurel qui démontre une fois de plus son efficacité. Certes, il n’est pas certifié et il n’est monté malheureusement que sur des ULM et jamais sur des avions de voltige certifiés en raison de cette même certification.
Mais Mr Adam Show préfèrera sans doutes continuer à utiliser son parachute dorsal certifié, qui l’obligera à s’extirper d’une cabine tournoyante en cas de problème similaire en lui faisant perdre les nombreuses secondes qui lui permettraient d’éviter un contact brutal avec le sol.
Non Mr Adam Show le paysage de l’ULM ne se limitera pas aux futures productions certifiées de Pionneer Italia. C’est justement en raison de sa diversité non contrainte que ce mouvement est si inventif et dynamique. Mais visiblement vous craignez la liberté des autres au point de vouloir la leur restreindre à tout prix.
Votre démarche pourrai être logique si les statistique des accidents pouvaient prouver que l’activité ULM est plus mortelle que l’activité Aviation certifiée. Étrangement, ces statistiques prouvent plutôt le contraire…
Sauvé par son parachute BRS
L’analyse en trois dictons!!! démontre comme dans le « mysanthrope » que les vieux ont plus de prudence .. que de sagesse .