Inventer un nouveau moyen de déplacement au coeur des grandes métropoles… © Bell Helicopter
Au terme de la première journée de l’Uber Elevate Summit, les premiers communiqués de presse ont commencé à tomber. C’est par exemple le constructeur aéronautique brésilien Embraer qui annonce son partenariat avec Uber « pour explorer le concept d’un réseau Uber Elevate reposant sur un écosystème qui permettra le développement et le déploiement de petits véhicules électriques à décollage et atterrissage verticaux (VTOL) pour les déplacements urbains courts ». Ce projet est porté par Embraer Business Innovation Center, la nouvelle entité basée...
3 commentaires
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Qui serait prêt aujourd’hui a accepter les risques pris par les pionniers a l’époque, alors que l’on vous fait un procès pour un café trop chaud ?
Le temps des pionniers est révolu, maintenant c’est sécurité et parapluie a tous les étages !
Avant d’associer les Farman, Breguet Dewoitine, Potez, Levasseur… à des Uber, dont ces derniers pourraient tirer une forme de noblesse de ces merveilleux fous-volants conquérants des Airs ! Il serait peut-être judicieux de dire si pour réussir ce miracle de l’envol ils avaient eu à parasiter d’anciennes professions de l’époque ?
Ensuite, les Uber n’inventent rien en l’occurrence sur ce marché du taxi aérien ! tout comme pour les taxis routiers ils cherchent juste à ponctionner un marché juteux du transport par hélicoptères qui ne se développe pas plus simplement parce que la réglementation aérienne protège les citoyens des nuisances de survol (risques en lien avec les accidents, bruit environnemental, pollution aux particules, etc…) et que le prix d’acquisition de ces appareils reste prohibitif.
Alors finalement c’est peut-être un français qui pourrait tirer son épingle du jeu si la DGAC s’y ouvrait: le Cabri G2 dronisé, dès qu’il aura été mis au point pour les militaires. Actuellement, avec un prix de revient à moins de 1€/min de vol (coût actuel pour une place de libre sans les frais liés au pilote), il y a de la marge par rapport aux prix pratiqués entre Nice et Monaco par les exploitants actuels (70€ aller simple, 110€ A/R) par exemple …
Y avait-il l’allemand VOLOCOPTER ou le français WHISPER sur à ce « Summit de Dallas » ?
Diable ! Après la Première Guerre mondiale,après avoir fait voler des SPAD-XIII, Breguet-XIV, Farman-50, on allait à Bruxelles et à Londres depuis Paris et on pensait à traverser l’Atlantique. On était loin des compétitions de planeurs. Loin, d’ailleurs, dans les deux sens du temps.