80 aéro-clubs français autorisent désormais le coavionnage et une centaine d'autres sont en cours de modification de leurs statuts pour permettre à leurs membres de pratiquer le coavionnage avec Wingly. © Wingly
2018 peut être considéré comme l’an 1 du coavionnage en France, même si la plate-forme Wingly a officiellement enregistré, dans l’hexagone, l’inscription de son premier passager en août 2015. Ce vol inaugural a, en effet, été suivi d’une traversée du désert de 6 mois et d’un exode vers l’Allemagne, le temps que la situation française se décante.
Un été 2018 « réussi »
Le temps, précisément, n’aurait rien fait à l’affaire si Wingly, le chef de file des promoteurs du coavionnage français, n’avait pas...
6 commentaires
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Attendons le premier accident grave car les passagers (payants) exigeront de rentrer chez eux en dépit de la météo crapoteuse du jour.
Ou les premières déceptions des passagers qui se feront le retour en train le lundi matin, avec leur voiture restée au terrain, et l’explication embarrassée au patron.
Ou encore le contrôle fiscal de aéro-club qui aide au TPP.
Ce jour là, ceux qui fustigent la frilosité des aéro-clubs seront bien au chaud chez eux, injoignables au téléphone, et ne seront pas là pour aider à répondre aux questions du gentil contrôleur des impôts…
Ce système n’a pas d’avenir.
gentil commentaire sans connaitre les paramètres !
mais rien d’étonnant, on ne peut pas plaire à tous, cela dit JMB, si j’ai un conseil pour vous faire passer pour ce que vous ne deviez pas être, faites un essai et analysez l’ensembles des paramètres avant d’arriver avec la haine au coeur !
Bravo ! Tout ce qui fait voler plus va dans le sens d’une meilleure pratique et donc d’une meilleure sécurité. Aux aéro-clubs encore trop frileux, de prendre le relais !
Quelle honte pour la FFA de s’être associée à cette entreprise dont les modèles économique et technique nuiront inévitablement à l’aviation générale de loisirs, à court ou moyen termes.
Quel bonheur et quel honneur pour l’aviation générale Française de voir une telle initiative chez nous. Le fait est suffisament rare, associé à un pragamatisme habituellement Américain, en terme d’aviation générale, pour s’en faire l’écho. Je peux imaginer le parcours du combattant pour en arriver là! Chapeau donc.
Encore bravo, bon vents et longue vie à Wingly!
« Fly Safe, Be Happy ».
Bravo Wingly !