En 2019, les 148 clubs qui ont fait le choix d’autoriser le « vol en partage de frais élargi » ont réalisé 2.535 heures de vol en un peu plus de 2.000 vols et ont accueilli 3.647 passagers. © Gil Roy / Aerobuzz.fr
Selon que vous serez affilié ou non à la FFA, vous parlerez de « vol en partage de frais élargi » ou plus simplement de « coavionnage ». Cette précaution sémantique étant posée, force est de constater que la FFA et Wingly parlent désormais le même langage et que l’activité se développe bien, tant d’un point de vue quantitatif, que qualitatif. Et c’est cela le plus important.
La FFA a donné le feu vert à la pratique du « vol en partage de...
13 commentaires
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Il ne faut pas oublier que certains en profitent pour vendre des vols touristiques alors que des entreprises ont un CTA.
Pilotes professionnels entretien agréé impôts…..
Cela me semble impossible avec le système Wingly puisque le pilote ne reçoit pas d’argent directement de son passager.
Il faut vivre avec son temps !
Bravo, et bonne continuation.
Bien sûr le partage de frais a un côté indiscutablement attrayant. Néanmoins dans une société toujours plus judiciarisée, ne tentons pas le diable… cf la triste aventure de notre collègue sur un glacier outre frontières.
Signé un vieux conducteur d’avion trouillard 🙂
Ça a l’air intéressant, mais c’est juste incompréhensible ? … même pour un ancien pilote qui aimerait bien voler à nouveau même en passager ? …
Messieurs les journalistes ce ne serait pas idiot d’expliquer ce que fait Wingly ?
Et la différence entre « le vol en partage de frais élargi » et le co-avionage ?
Quand aux Impots, que personne ne s’inquiète ils arriveront bien à temps.
Il n’existe aucune exception dans cette pauvre France. C’est d’ailleurs le seul service public qui fonctionne à peu près correctement (sauf si on parle de rendement par salarié) …
En tant que pratiquant l’avion depuis 35 année en tant que pilote privé et en aillant fait beaucoup de nav , je pense que notre avion de club est et doit rester du loisir .
Du vol de beau temps sans impératif .
On est pas des pro avec des avions super puissant et super équipé ,faut pas tout mélanger pour une histoire de fric .
Restons dans notre domaine du vol de baptême de l’air et de Tite ballade entre pote ou amis du dimanche après midi .
C’est exactement ce que je fais lors de vols avec des passagers Wingly !
En plus, tout le monde est mieux assuré en utilisant Wingly que sans.
Une association qui devient une société de transport aérien, mais a quel moment les services des impôts va enfin mettre leur nez dans ses usines de détournement de taxe et impôt que sont en train de devenir les AC. Je constate que se détournement financier se fait avec le soutien de Bercy car cette administration n’applique et ne contrôle pas ses propres règles qu’elle impose au autre et en premier lieu pour la TVA.
Bonjour, quelle différence entre wingly et coavmi et autres plateformes de coavionnage? Les « spécificités » mises en avant pour wingly ne peuvent pas être similaires pour les autres plateformes ?
quelles différences entre cessna, piper, robin ?
Du point de vue qui nous intéresse, aucune différence, pour autant Jean Luc Charron dit: « cette plateforme qui a été la seule à comprendre et à intégrer les spécificités de notre fédération ».
Il aurait été intéressant de savoir pourquoi. Je pense.
La parole est donc à Jean-Luc Charron et à la FFA !