La planète vue du cockipt d'un Phenom 300… © Speedwings
L'équipage du Colibri World Tour est actuellement à Tokyo où il a atterri le 30 mars. Nicolas et Philippe resteront quelques jours sur le sol nippon avant de reprendre les airs le 6 avril. Retour rapide sur quatre jours marqués par une éruption volcanique et la gestion carburant.
Pas de routine pour le Colibri World Tour. Après Anchorage, l’équipage décide de refueler à Nome, non prévu initialement, de manière à prendre un maximum de Jet-A1 et poursuivre ainsi jusqu’à Magadane. Cette branche de 3 h 45 de vol a semblé une éternité à l’équipage qui, au lieu des deux ou trois bilans carburant habituels, en a réalisé pas moins de douze. « Le vent prévu était beaucoup moins important que la réalité« , explique Philippe qui précise : « on n’a...
4 commentaires
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Comment se fait il que l’aéronautique n’utilise toujours pas le système métrique, beaucoup plus cohérent?
On est arrivé dans un autre monde en Russie » explique Nicolas : « on travaille au QFE et non au QNH, en mètres et non en pieds, et la vitesse du vent est exprimée en mètre par seconde et non en noeuds. »
Un autre monde, l’aventure!
La règlementation impose d’avoir la réserve finale à l’atterrissage pas forcément le fuel pour dégager,soit 30 on 45 mn selon les états.
On peut aussi poser avec moins que çà en cas de problème et déclarer un mayday fuel.
Après faudra justifier bien sûr…
2% d’humidité pendant des heures, c pas de la pénibilité, ça?