Le chef de la base hélicoptères et pilote du Dragon 2B pratique l’aéromodélisme depuis l’âge de 10 ans. Dans ce nouvel épisode produit par la Fédération Française d’Aéromodélisme il raconte comment le virus du vol lui a pris en construisant des maquettes…
Fabrice Maillet a toujours rêvé de piloter. Sa passion s’est dévoilée par l’initiation à l’aéromodélisme. Une pratique qui pour lui a été d’un grand secours dans le reste de son apprentissage réel… Pour cet entretien inédit face caméra, le pilote a rassemblé « une partie de sa vie aéronautique » au pied du Dragon, dont un Rafale à réaction capable de voler à près de 400 km/h.
« L’aéronautique est un puit sans fond, on apprend tous les jours, y compris par l’aéromodélisme », nous explique le pilote aux 6300 heures de vol sur hélicoptère dans cette nouvelle vidéo produite par la FFAM.
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Oui, c'est très beau, c'est très bien, c'est de la communication faite par des professionnels, dommage que ça arrive juste 6 ans trop tard. Lors des prémices de la loi drones qui impacte finalement très négativement l'aéromodélisme, c'est effectivement ce qu'il eut été pertinent de mettre en avant. Montrer au Secrétariat Général de la Défense et de la Sécurité Nationale en 2015 ce à quoi une loi restrictive pouvait durement porter atteinte. Au lieu de cela, on se contenta de rodomontades satisfaites en guise d'acquiescement à un projet de loi liberticide. Maintenant le mal est fait, les effectifs de licenciés s'écroulent (faire voler un petit planeur dans le champ d'à côté nécessite sous peine d'amende rien moins qu'un transpondeur), alors on peut toujours regarder le passé... presque de l'histoire désormais !!
Pas mieux que Louis et Jacques !...
Très beau reportage.Felicitations à laFFAM et à Jérôme Bonnard. Beaucoup de passionnés par l 'aéronautique et pas seulement des pilotes se retrouveront dans ce reportage. Oui,cette activité pratiquée très jeune a permis à beaucoup d 'exercer le métier dont ils rêvaient .C'est très formateur et ça ne coûte pas plus cher que les jeux vidéo.