Le Tecnam P2006T est bien dimensionné pour la mission de surveillance des réseaux avec un équipage de deux personnes (pilote et opérateur système), une autonomie confortable (jusqu’à 4 heures de vol avec un plein de 200 litres) et la possibilité de survoler des zones urbanisées à basse hauteur grâce à la formule bimoteur. © Frédéric Lert / Aerobuzz.fr
Issu du programme européen Horizon 2020, le projet WADI a réuni pendant quatre ans Air Marine, l’ONERA, la société du Canal de Provence et plusieurs partenaires européens pour la mise au point d’un système aéroporté de détection de fuites d’eau. La société Air Marine a réalisé l’intégration de ces capteurs (spectres infrarouge, proche infrarouge et visible) dans une tourelle gyrostabilisée installée sur l’un de ses trois bimoteurs Tecnam P2006T.
5 commentaires
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je crois savoir que certaines sociétés travaillent également sur des capteurs pour déceler les c…s à partir d’un simple survol
il y a parait il un très grand marché car si certaines espèces sont en voie de disparition, la biodiversité notamment digital favorise leurs développements et il est important de les étudier.
Bonjour, je suis bien curieux de savoir comment détecte t’on des fuites d’eau depuis un avion ???
On avait eu les avions « renifleurs » à une certaine époque !
On disperse du pastis, et si ça se trouble c’est qu’il y a de l’eau…
Désolé 😊
Bonjour Stanloc, la détection se fait en observant le sol, en décelant d’éventuels contrastes thermiques dans l’infrarouge ou le proche infrarouge. Il est aussi question de bon sens, par exemple en repérant une végétation qui ne pourrait subsister sans la présence d’eau abondante…