IRMA permet aux contrôleurs de repérer les aéronefs équipés d’un transpondeur. Ce n’est ni un outil d’aiguillage, ni un système anti-collision. © Jérôme Bonnard / Aerobuzz.fr
A terme, la DGAC souhaite équiper l’ensemble des terrains du service Aviation Générale de la visualisation IRMA. Ce système consiste à déporter l’image du radar situé sur un terrain voisin vers un terrain secondaire équipé simplement d’un « scope » pour visualiser le trafic local. Pour être identifiables, les aéronefs des terrains concernés doivent afficher sur leur transpondeur des codes différents pour les départs, les arrivées ou les transits, ou encore les tours de pistes.
Les contrôleurs, eux, pourront mieux superviser le trafic...
Un commentaire
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Scusi, mais une petite précision en ce qui concerne le code transpondeur, — à moins que je ne me trompe — il est attribué par l’APP ou la TWR sans distinction de phase de vol pour une identification sans ségrégation. Avec, maintenant, les transpondeurs en mode « S », l’indicatif s’inscrit systématiquement sur le scope, en fait un écran style TV.
Un code différent émettant des bananes en fonction des phases, s’était dans les années « 70 » :-))
Un ancien d’un CCR