Le drone Quantifly (iGEM IONIS) embarque des bactéries génétiquement modifiées. © IONIS
Pour quantifier les composés toxiques présents dans l’air, il existe des stations fixes. Ces équipements présentent deux inconvénients : leur faible précision et leur incapacité à aller mesurer la pollution dans les zones difficile d’accès. D’où l’idée d’un groupe d’étudiants d’utiliser les biotechnologies et le génie génétique pour concevoir une bactérie génétiquement modifiée, chargée dans un drone, capable de détecter des composés organiques volatils (COVs), là où ils sévissent. Ces COVs, connus pour leurs effets cancérigènes et reprotoxiques, sont un enjeu majeur pour la...
3 commentaires
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@Roussel , vous avez raison mais les mauvais genies attendent souvent que les bonnes idees naissent pour les transformer tot ou tard.
ce n’est pas une bonne idée
Que fera-t-on quand une organisation diffusera des produits mortifères ?
Bravo à l’équipe !
Je ne sais pas si j’ai le droit de mettre un lien vers un article d’un autre site, avec une interview de ces étudiants ?
Si oui:
http://www.futura-sciences.com/planete/actualites/developpement-durable-exclusif-bacteries-volantes-mesurer-pollution-air-62465/