La possibilité offerte aux opérateurs de monoturbopropulseurs de faire du transport public de passagers ouvre de nouveaux débouchés. © Airborne Films
« Pour un propriétaire privé ou une entreprise possédant un TBM et volant moins de 200 heures par an, les revenus générés par des compagnies d’avion-taxi peuvent aider à réduire leurs propres coûts d’exploitation », explique Nicolas Chabbert, directeur du département avions d’affaires de Daher. D’où l’idée de l’avionneur de faciliter le rapprochement entre propriétaires et opérateurs professionnels à travers un programme dédié.
Au-delà de la mise en relation, ce programme baptisé FACT (« Fly And Charter your TBM ») est destiné à offrir les...
Un commentaire
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Affaire à suivre et pas si évidente que cela, car à ma connaissance peu de CTA, en France un seul me semble-t-il et dans le reste de l’Europe pas beaucoup plus, peuvent effectivement exploiter des mono-turbines en transport public. Par ailleurs, le premier contact de la clientèle avec ce genre de machines peut être assez déroutant, surtout lorsque je me remémore le commentaire d’un médecin voyant notre King Air 350 médicalisé pour la première fois; « Quoi?? Un avion à hélices!! ». Ici ce sera sans doute « Quoi?? Un avion à hélice!! Et en plus il n’y a qu’un seul moteur!! ».
N’oublions pas que les mentalités prennent parfois une génération à changer, le temps que le fils, devenu adulte, ne fasse plus comme le père, devenu trop vieux.