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Edeis conserve la gestion de l’aéroport de Troyes-Barberey

L'aéroport de Troyes-Barberey est exploité depuis 2013 par Edeis. © Edeis

Le Syndicat mixte de l’aéroport de Troyes-Barberey renouvelle le contrat de gestion et d’exploitation de la plateforme aéroportuaire de Troyes-Barberey, attribué à Edeis  pour une durée de 8 ans, à compter du 1er janvier 2021.

L’aéroport de Troyes-Barberey est exploité par Edeis depuis 2013. Dans le cadre de ce renouvellement, le gestionnaire prévoit quelques points de développement concrets à savoir :

  • L’agrandissement du salon équipage de manière à mieux accueillir l’aviation d’affaires et les investisseurs du territoire aubois,
  • L’aménagement de locaux qui pourront être dédiés à un aéroclub,
  • L’installation d’une borne électrique et des partenariats avec les acteurs du tourisme pour permettre la location de véhicules électriques depuis l’aéroport.
  • La biodiversité aura toute sa place dans l’action d’Edeis, notamment...

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4 commentaires

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  • bonjour
    Même les aerodromes piste en herbe ont un coût. Soit la collectivité propriétaire les prend en charge dans le cadre de son budget général, soit l’association en contrat de gestion, les répercute en charges communes.
    Les petits aérodromes avec piste non revêtue sont moins coûteux car ils relèvent encore de la réglementation française ( TAC et CHEA ) et assis sur une implication bénévole forte.
    Les autres AD ont vu surgir des coûts lors de la passage sous réglementation AESA.
    Le recours à un opérateur privé s’inscrit dans le contexte d’une plateforme déjà structurée, avec de l’activité et des ambitions de développement ou/et de diversification.
    Cordialement.

    Répondre
  • par Jean Paul Delevoye

    A éviter, ils font tout payer même une approche suivie d’une remise de gaz.

    Répondre
    • Bonjour,
      Le débat n’est pas propre au cas Edeis. L’équation qui nous est proposée est la suivante : préférons-nous payer un peu à chaque utilisation d’un aérodrome, et donner ainsi une chance de le préserver en limitant son coût pour la collectivité, ou bien préférons-nous y voir s’installer un centrale solaire ?

      Répondre
      • L’aviation de loisir est un… loisir!
        Loin est l’époque du tout gratuit avec l’aviation populaire pour motiver les jeunes à l’apprentissage du pilotage et leur ouvrir, ainsi, une carrière professionnelle.
        Aujourd’hui notre « petite » aviation est essentiellement une activité de passionnés au même titre que ceux qui souhaitent évoluer sur un circuit avec une voiture de sport en payant l’infrastructure.
        Mais nous avons encore le choix de ne pas payer un service aéroportuaire en utilisant les petits aérodromes avec des pistes en herbe sans gestionnaire en recherche de rentabilité, tout comme on peut choisir de ne pas payer l’autoroute pour se déplacer en voiture.

        Répondre

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