Le Tanker 134, quatrième Hercules entré en service chez Coulson, perdu au cours d'une mission feu avec son équipage en Australie. © RAAF
Il s’agit du C-130 N134CG, un ex-EC-130Q de l’US Navy que Coulson avait racheté et mis en service il y a deux ans et qui avait déjà effectué la saison feu en Australie en 2018-2019. L’appareil, aux nouvelles couleurs Coulson-Unical, avait été aussi utilisé l’été dernier sous contrat avec le Cal Fire. Il était équipé d’une soute de 15 000 litres.
Les causes du drame ne sont pas encore connues.
Le sujet est sensible : Coulson avait réintroduit le type dans l’arsenal...
6 commentaires
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Bonjour
En toute logique donc il faudrait concevoir un avion largueur eau en configuration aile volante amphibie !
Il reste à trouver un Constructeur (DASSAULT a fait un Bréguet Atlantic qui tient toujours malgré les conditions marines très sévères !)
Merci
Et bien une faiblesse structurelle au niveau des emplantures d’ailes /carlingue du au ZFW (zéro fuel weight quand tu largues l’avion perd ses ailes…
Justement, les C-130A qui ont connu ce problème ont été bannis de ces missions et les C-130 qui ont pris la relève sont très surveillés à ce niveau-là. Certains des avions modifiés par Coulson ont même reçu des « Wingbox » neuves de C-130J.
Votre remarque n’est exacte que si l’eau larguée est contenue dans les ailes. Si elle est contenue dans le fuselage, son largage provoque au contraire l’éloignement de la limitation ZFW.
Non, la charge, lourde, de l’eau dans le fuselage s’annule brutalement au largage (ce qui n’est pas bon en fatigue pour le longeron à l’emplanture), puis juste après « la gravité » revient (effet ressort) et même l’avion fait une ressource pour dégager, ce qui remet violemment de la charge sur le longeron. En particulier à l’emplanture des ailes, la ou les C-130A cassaient.
Si le poids était réparti sur les ailes, il y aurait au contraire bien moins d’effets secondaires…
exact Jean Mi