Le biplace électrique Electra Trainer d'Elektra Solar à Aero 2023 Friedrichshafen. © Gil Roy / Aerobuzz.fr
Elektra Solar a franchi une nouvelle étape dans le développement de l’Elektra Trainer en décrochant la certification ULM allemande.
Elektra Solar est l’autre pionnier européen de l’aviation électrique. Depuis plus de dix ans, édition après édition, les visiteurs du salon Aero peuvent mesurer les progrès accomplis par Calin Gologan, le père de l’Elektra. Cette année, il est présent à Friedrichshafen avec l’homologation DULV allemande pour son biplace Elektra Trainer qui, outre-Rhin est donc un ULM à part entière. En France, il est trop lourd !
Là où Pipistrel annonce une heure, Elektra Solar avance une autonomie de 2,5 heures tout à fait exceptionnelle pour une machine volante électrique de série. Il est équipé de deux moteurs Geiger/Solar HPD 50D développant une puissance de 80 kW maxi (40 kw continu) et faisant tourner la même hélice tripale Helix à part variable.
Avec son envergure de 13,56 m, cet ULM séduira plus facilement les centres de vol à voile. Une version remorqueur de planeur est à l’étude. Dans sa version de base, il est proposé à 250.000 €HT (chargeur compris). Mais avec sa masse à vide de 422 kg et sa masse maxi au décollage de 600 kg, les clubs français devront se contenter de le voir voler.
Le 14 octobre 2023 à 17h, un bimoteur Piper PA-31-350 exploité par la société SkyCare… Read More
En ouverture du congrès AFF qui s'est tenu à Bordeaux les 26 et 27 mars… Read More
Après le retard de la certification du moteur Catalyst du Beechcraft Denali, Textron Aviation peut… Read More
La Suisse assouplit les prescriptions en matière de certification, de production et d’entretien applicables à… Read More
La start-up française qui développe le système de propulsion hybride-électrique Sterna et l'eVTOL Atea, fait… Read More
La lutte contre les drones est une priorité dans tous les scénarios militaires. Airbus a… Read More
This website uses cookies.
View Comments
Il est vrai que notre autorité bienveillante ne fait pas évoluer une réglementation originale qui incorpore les « batteries » dans la masse à vide équipée !?!
À l’heure où l’on parle de technologie éco-responsable, comment résoudre l’équation qui consiste donc à considérer l’énergie « électrique » indispensable à la propulsion de l’ULM sous forme de batteries dont la masse ne varient pas qu’elles soient chargées ou non.
Ainsi la masse au décollage sera la même à l’atterrissage !