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Premier vol du DR400 Rotax 915iS

L’extension de certification (STC) du DR400 équipé du moteur Rotax 915iS est attendue début 2018. © Nogaro Aviation

Gilles Aurensan (Nogaro Aviation) a réalisé, le 4 juillet 2107, le premier vol du DR400 équipé du moteur Rotax 915iS de 135ch.

Après avoir attendu le feu vert de Rotax et son laisser-passer de la DGAC en poche, Gilles Aurensan a enfin pu s’aligner sur la piste de Nogaro pour effectuer le premier vol du DR400 équipé du moteur Rotax 915iS à injection électronique avec turbo et intercooler.

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5 commentaires

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  • Le DR400 est pour beaucoup le meilleur avion léger du monde pour ses performances et son agrément de pilotage (précision du manche, visibilité et capacité d’emport).
    Ce nouveau moteur aidera à poursuivre son succès.
    Une suggestion pour réduire son coût en conservant et voire améliorant ses performances: développer une aile en composite amortissable par une très probable résultante augmentation de cadence et la simplification de la maintenance.

    Répondre
    • Bonjour
      Bien d’accord avec ce qui est dit , ce serait alors peut être un avion idéal.
      Ceci étant, l’aile du DR400 est vraiment légère et j’ai un doute sur la capacité d’obtenir le même poid en composite. Il faudra peut-être voir du coté de EliXir Aircraft qui à développer une approche trés interesante de ce point de vue (Aile en carbone sans nervures)
      Marc

      Répondre
  • par Pilotaillon de première classe

    Bravo !
    Et en plus ça se passe en France… « qui a tout pour réussir ».
    Positiver, agir, continuer : qui sera le suivant ?

    Répondre
    • par Robert Guitton Ropp

      Je n’apprécie pas le terme de : PILOTAILLON DE PREMIèRE CLASSE

      Pas très classe !

      https://www.aerobuzz.fr/breves-aviation-generale/premier-vol-dr400-rotax-915is/?replytocom=40746#comment-40746

      Répondre
      • C’est peut-être pas très classe je vous l’accorde :o) , juste un peu provoc mais réaliste.
        Je suis PPL avec quelques heures, parapentiste aussi, je me sens effectivement en dessous de nombreux pilotes d’Aérobuzz, à la fois par les compétences et l’expérience.
        J’ai néanmoins le sentiment qu’on se rassure dans une forme de tradition, tellement en décalage avec l’ambiance du monde et des développements en cours.
        Il me semble que toutes les formes de vol sont stratégiques. C’est un espace peu utilisé, utilitaire (drones, commercial) et plaisir, nos (ma) passion et en ce moment sujet de nombreuses études.
        Pourquoi n’avons nous pas cette lucidité ?
        Pourquoi ne jouons nous pas avec les outils actuels ?
        Les initiatives ne sont pas nombreuses, le matériel et les solutions proviennent majoritairement de l’extérieur. Nous avons histoire si riche en France… et risquons de manquer le train.
        Hors de la filière professionnelle, il y a un marché, dont le poids et la dynamique (ou les freins) est représenté par les aéro-clubs et constructeurs amateurs.
        Malgré l’engagement de la FFAé, le nombre d’heure diminue, on fait du neuf avec du vieux, on regarde les ULM avec un sourire… et j’ai l’impression qu’on attend ! Pas sexy :o(
        Je n’ai pas de réponse, mais il me semble qu’il faut réagir, davantage s’ouvrir, contribuer, encourager l’innovation, le renouvellement des pilotes si l’on veut léguer une belle aviation aux futures générations, c’est maintenant.
        Bon vols.
        Je continue de « Pilotailler », j’adore, en sécurité j’espère.

        Répondre

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