Pour les plus motivés, la possibilité existe de participer à une souscription pour une future version imprimée. Les années antérieures à 2010 ont déjà fait l’objet de publications de la part de l’association Air Force. © DR
L’association « Air Force » publie une compilation des accidents des aéronefs d’état français de la dernière décennie. Un travail de bénédictin et (pourtant) passionnant à lire.
« Avant que le temps n’efface les faits perturbants et installe l’histoire officielle, nous vous livrons les informations passées inaperçues, fragmentaires ou sous silence » expliquent en guise de préambule les auteurs, Michel Garcia et Jean-Louis Gaynecoetche. Les deux tontons flingueurs, à qui on ne la fait pas, ont été épaulés dans leur travail par quelques noms bien connus de la sphère des spotters français. On peut se moquer des types qui gribouillent des immatriculations d’avions sur leurs petits carnets, mais...
4 commentaires
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J’ai 88 Ans ancien pilote de planeurs et avions de tourisme, je suis heureux d’avoir des nouvelles de l’aviation, en générale,
Bien cordialement,
M, brand
Vous dites « francais » en ligne 2 puis « scène francaise puis internationale » en ligne 12 !
Je doute qu’on ait les détails d’accidents hors les cas français ! Se poignarder avec une poignée de saucisses, c’est bien éthique !
Perso, je comprends ainsi le texte :
« panorama du contexte en France mais aussi à l’international »
Viennent ensuite les crashes de « nos » avions, lesquels opèrent (parfois/souvent) en contexte international à l’exemple du M2000D crashé le 24 mai 2011 non loin de la frontière entre Iran et Afghanistan et qui est en exemple, représenté sur la page 128.
Avouez qu’un Mirage si loin de Kaboul n’a pas du être une mince affaire à sécuriser puis à récupérer … sans parler de l’équipage.
Bien sûr, on pourrait juste « collectionner » les images.
Mais aimer les belles lignes de nos aéronefs n’est pas la garantie d’être expert en géopolitique/géostratégie et donc de saisir ce que sous-tend telle ou telle situation de crash.
Et qui dit que dans X années, ces contextes seront lisibles à des lecteurs n’ayant même jamais entendu parler de ces crises ?
Le mieux est d’acheter et lire ces 266 pages numériques ! Cependant la tonalité de l’article et l’expression « tontons flingueurs » me donnent à penser qu’ a priori ces enquêtes ne sont pas disons « en faveur » de l’institution étatique comme si on nous cachait les choses d’où ce parfum délétère de complot partout présent dans la presse papier comme numérique ! Ceci dit l’institution étatique en bref les armées sont de mon point de vue plus franches du collier, hormis le fait que la confidentialité sinon le secret sont de mise, que le secteur civil où nombre d’enjeux commerciaux interfèrent…mais cela ferait un long discours pour rétablir quelques vérités !
Donc je vais souscrire à cette édition numérique dont on nous vante ici le côté « croustillant » uniquement pour en avoir le coeur net ce qui me permettra éventuellement de revenir ici vous en parler !
A plus…