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Antoine de Saint Exupéry, l’aventure des ailes à la plume

François Suchel s'est plongé dans les archives de la famille d'Antoine de Saint Exupéry. © Paulsen

A son tour François Suchel entreprend de nous raconter Antoine de Saint Exupéry. Une fois de plus le style de cet auteur fait merveille. Son éditeur Paulsen signe également une réalisation remarquable.

C’est toujours avec le même plaisir que l’on retrouve François Suchel. Qu’il endosse son uniforme de pilote de ligne pour évoquer un événement dramatique survenu lors d’un vol commercial. Qu’il se transforme en romancier pour nous faire vivre un accident d’aviation générale survenu au large de la Corse. Qu’il embarque à bord d’un Lama pour esquisser le portrait d’un pilote d’hélicoptère dans le Mont-Blanc. Ou qu’il devienne biographe, comme avec son dernier ouvrage.

François Suchel s’attaque cette fois-ci...

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4 commentaires

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  • J’ai lu, sous la plume d’un iconoclaste irrévérencieux, que saint-exupery fut rejeté d’air france parce que dansant mal le tango. Peut-être ces biographies sont-elles alors des expiations tardives?

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  • D’accord avec Gil, je trouve cette biographie de Saint-Ex très bien écrite et plutôt assez complète. Moi-même ayant pu cerner les méandres de l’esprit de notre célèbre aviateur-pilote après les trois publications que je lui avais consacrées, je constate avec plaisir nos convergences d’analyse. C’est peut-être le résultat de notre condition professionnelle, puisque parmi la centaine de biographies de Saint-Ex nous sommes, à ma connaissance, les deux seuls pilotes de ligne à avoir écrit sur lui.

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    • Diable, vous avez « cerné les méandres de l’esprit de St-Exupéry » … ! là, c’est au moins l’Académie française que vous visez, sinon au moins une agrégation de lettres modernes par équivalence. Et en plus, vous nous suggérez qu’il faut être pilote de ligne (et AF, bien sûr) pour écrire une biographie correcte de l’auteur du petit prince ?

      Vous avez vraiment toutes les qualités, à commencer par la modestie.

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      • Il y avait longtemps que notre cher « orageux » ancien pilote de chasse ne s’en était pas pris aux pilotes de ligne d’Air France. En outre il nous parle de modestie alors qu’il passe son temps à déverser son arrogance de sachant. La dernière fois que cela put me concerner c’était au sujet de ma biographie de Maurice Noguès, afin d’afficher sa supériorité au seul motif qu’il serait un descendant du gouverneur de l’Indochine décédé dans le crash de l’Emeraude. Ce qui de toute façon était tout à fait marginal, puisqu’il s’agissait de la recension d’un ouvrage, mais Stormy avait dit quelque chose à défaut de dire son nom. Alors, prenons le dictionnaire ! Dans le sens littéraire, « cerner » veut dire « entourer le contour par un trait ». Cela ne veut donc pas dire que l’on se targue d’avoir découvert toute la complexité de l’esprit de Saint-Ex, pas plus que celle de Stormy du reste, où doivent se mêler bien de choses bien plus aigres que douces. Et je tiens pour preuve de son aigreur son interprétation tendancieuse sur mon évocation d’une simple convergence d’analyses partagée avec Suchel qui, « peut-être » ai-je bien précisé, pouvait découler d’une condition commune de pilote de ligne. Enfin, merci à l’ombrageux de me prêter de viser l’Académie française. C’est trop d’honneur ! J’ai été élu – en tant qu’écrivain et non pilote de ligne – à l’Académie des Jeux Floraux, bien plus ancienne que la première nommée. Et cela me suffit amplement et aurait réjoui feu mon ami Jean Sarrail, ancien grand pilote d’essai et chasseur de la seconde guerre mondiale, l’exemple même de l’humilité.

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