Un officier de navigation du Hindenburg, témoin d’événements sordides à bord, mène une enquête discrète, à bord. Une aventure aéronautique basée sur des faits historiques. © DR
Après « Trente-trois heures », un roman de fiction consacré à la première traversée de l’Atlantique par Lindbergh (Editions du Caillou), Jean-Baptiste Desforges publie un deuxième roman tout aussi incroyable « Les vents contraires », relatant la dernière traversée de l’Atlantique avec le dirigeable le plus gros du monde, le Hindenburg LZ 129. Captivant.
Le livre de Jean-Baptiste Desforges « Les vents contraires » n’est pas à mettre entre toutes les mains. Disons-le d’emblée, il y a des morts, du sang, de la haine et des violences ! Pour autant, le livre débute par une invitation à un voyage extraordinaire en mai 1937 à bord du dirigeable géant allemand Hindenburg LZ 129, construit par Zeppelin, entre l’Allemagne et New York. On pourrait s’y croire tant les descriptions de ce palace volant avec ses...