Depuis sa création en 1981, ATR a vendu plus de 1.500 appareils à quelque 200 compagnies aériennes réparties dans près de 100 pays. © ATR
Michel Polacco réunissait toutes les qualités pour éviter le piège du livre hagiographique et donner du corps à un ouvrage à la gloire d’une réussite industrielle. L’auteur maîtrise son sujet. Dans ses fonctions de journaliste, il a suivi jusqu’à aujourd’hui tous les développements depuis la présentation de la première maquette de l’avion, au salon du Bourget 1981, jusqu’aux dernières évolutions technologiques et les plus récents contrats. Son texte d’une remarquable densité est émaillé d’anecdotes qui sentent le vécu. Polacco est...
3 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
En tant que riverain d’Orly (mais cependant ingénieur ENSICA) c’est non seulement l’avion que j’aime, mais on l’aura deviné..son silence. Ah pourquoi tous les vols domestiques ne se font-ils en ATR?
Je suis très touché par ce fort aimable commentaire, ou cette sympathique « critique » de lecture. C’est vrai que j’aime ces avions et que lorsque Privat a répondu à l’appel d’offre d’ATR, j’ai accepté avec joie et enthousiasme la proposition de l’éditeur. Et les collaborateurs de l’entreprise ATR ont vraiment joué le jeu. Aucun sujet n’a été occulté. ce fut un plaisir à faire. MP.
Génial cet avion qui permet de transporter quelques clients de la brousse malgache vers la ville.
Les pilotes semblent s’amuser dans leur travail quotidien et c’est très rassurant.
C’est un peu l’ancienne philosophie qui permettait d’être dans un avion (Super Constellation) sans pour cela être obligé d’avoir un quantité de passagers qui donne l’impression d’être au milieu d’une bétaillère, comme hélas avec des avions désormais à 200 ou 300 personnes pour les vols long courrier. Et comme on ne choisit pas ses voisins…