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J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage

Le dernier livre de Jean-Pierre Otelli « Erreurs de pilotage 8, toujours le facteur humain… » est paru. Comme d’habitude, l’auteur se veut pédagogue en expliquant, à partir d’exemples réels et preuves à l’appui, que dans la grande chaîne du transport aérien, le maillon le plus faible est souvent l’homme. Dans ce huitième volume de cette série à succès, on trouve ainsi raconté et analysé des crashs encore très médiatisés, même si certains datent un peu : l’attaque du vol...

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27 commentaires

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Réponse à DC (octobre 2014) : Jean-Pierre Otelli est pilote de voltige, c’est aussi le fondateur de la patrouille de voltige du Maroc. Je pense que cela suffit pour avoir des connaissances en matière d’aéronautique, non? Et c’est effectivement un bon « ‘raconteur d’histoires »

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Je suis bien d’accord avec vous (DC) sur le titre « Erreurs de pilotage ». Encore faut-il que tout se pilote, ce qui est très loin d’être le cas. Mais ce titre n’est là que pour l’accroche commerciale, le contenu du texte étant bien loin de faire une quelconque démonstration sur des erreurs de pilotage. L’obstination souvent désignée comme étant à l’origine de nombreux crash, n’est pas une erreur, c’est un comportement qui peut être aussi bien salvateur que très dangereux, selon la situation.
    Un pilote qui décide de faire un tonneau de nuit avec un avion qui n’est même pas prévu pour ça n’est pas non plus une erreur de pilotage. C’est un être humain dont l’orgueil, l’inconscience, l’incompétence, l’inintelligence…..bref la liste des qualificatifs peut être immensément longue, l’amènent à la mort en entraînant avec lui des personnes qui lui ont fait confiance. C’est comme quand d’autres sortent bourrés d’une boîte de nuit et prennent leur voiture. Ca peut passer, avec de la chance !
    Je suis également d’accord qu’il faudrait écrire dans des livres « commerciaux », toutes les histoires vraies dans lesquelles les pilotes ont sauvé des centaines de passagers, par leur sang froid, leur adresse, leur bon sens et une gestion du stress exceptionnels.
    FBE

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    « Le métier de pilote est un métier difficile comme celui de chirurgien ou tant d’autres métiers qui peuvent entraîner le décès d’une ou plusieurs personnes qui, en échange d’une service payant, reçoivent la mort. Bien sûr, on peut hurler à l’erreur humaine, à la faute, à l’incompétence, mais on pourrait y ajouter, l’orgueil et la vanité de l’être humain, nous avons le recul nécessaire pour ça et des exemples à la kilotonne [Et tout ce qui suit] »

    Pour le reste, je suis globalement d’accord avec vous.

    Bien à vous,

    DC

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    « Je ne connais pas JP Otelli et je me garderai bien de juger ses compétences techniques. Il a simplement le courage de démythifier ceux qui s’auto-proclament depuis la création de l’ aviation des « seigneurs ». Spécialiste des FH en aéronautique je suis malheureusement bien placé pour savoir qu’en terme de « seigneur », on est très très loin du compte. Ce ne sont que des hommes avec leurs forces et leurs faiblesses, point final, n’en déplaise à certains, qu’on soit voltigeur ou « 15Kheures » en ligne. »

    Puisque d’une certaine manière je suis visé par les propos ci-dessus, je répondrai que j’ai lu plusieurs des premiers livres rédigés par JP Otelli. J’ai à chaque fois été surpris par des imprécisions, des raccourcis sommaires, voire de franches inexactitudes, quand ce n’étaient pas des affirmations complètement fausses.

    Chacun fait ce qui lui plaît et lit ce qu’il veut, pour ma part je me borne à ne plus tenir compte le moins du monde de ce qui pourrait m’être rapporté étant extrait de ses publications.

    Rien que le titre « Erreur de pilotage » flaire le journalisme bas de gamme à la recherche de sensations bon marché, et aucunement la recherche l’évocation factuelle des facteurs humains telle que pratiquée par les (vrais) spécialistes du CRM…

    Bien à vous,

    DC

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Le métier de pilote est un métier difficile comme celui de chirurgien ou tant d’autres métiers qui peuvent entraîner le décès d’une ou plusieurs personnes qui, en échange d’une service payant, reçoivent la mort. Bien sûr, on peut hurler à l’erreur humaine, à la faute, à l’incompétence, mais on pourrait y ajouter, l’orgueil et la vanité de l’être humain, nous avons le recul nécessaire pour ça et des exemples à la kilotonne !
    C’est un constat, une fatalité. Les pilotes d’avions de ligne ne pilotent plus des avions. Ils pilotent des systèmes complexes qu’ils ne comprennent pas en totalité et dont ils font partie. Et lorsque le système n’est pas compris cela donne une situation de pilotage de base comme le décrochage, qu’il paraît facile sur le papier de contrer sans aucune difficulté, ce sont les premières leçons de pilotage. Toutefois, un avion peut décrocher à plus de 10 km au-dessus de la mer, avec des pilotes de système à bord qui ne comprennent pas la situation aérodynamique, car on a construit le système pour aider le pilote, pas pour le remplacer. Et quand le système ne peut plus aider le pilote, voire le trompe, ce dernier doit comprendre. C’est le macabre résumé du crash de Rio, mais il n’ a pas été le premier. Et ce n’est qu’un froid constat. Y-en aura-t il d’autres? C’est sûr et certain. Lorsque les pilotes de système seront au sol, avec d’autres outils pour dominer toutes les situations, ce sera différent, mais on ne fera pas monter des passagers dans des avions sans pilotes sans les leurrer. A quand des hôtesses ou steward en cabine avec casques sur la tête pour surveiller des voyants verts et faire croire que tout est maîtrisé du bord?

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Je ne connais pas JP Otelli et je me garderai bien de juger ses compétences techniques. Il a simplement le courage de démythifier ceux qui s’auto-proclament depuis la création de l’ aviation des « seigneurs ». Spécialiste des FH en aéronautique je suis malheureusement bien placé pour savoir qu’en terme de « seigneur », on est très très loin du compte. Ce ne sont que des hommes avec leurs forces et leurs faiblesses, point final, n’en déplaise à certains, qu’on soit voltigeur ou « 15Kheures » en ligne.
    L’avenir est-il dans les machines? Je pense que oui, les seigneurs de demain seront au sol mais dans combien de temps ? ce n’est pas pour demain.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    A M. Jean Pinet: je vous rend grâce bien volontiers du fait que vos propos tels que rapportés dans l’article ont étés tronqués et sortis de leur contexte.
    Quant au livre en question, son titre « Erreurs de pilotage » en est la première escroquerie. Beaucoup ici ont expliqué pourquoi.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    … Quant à JP Otelli, pour avoir lu certaines de ses précédentes publications, désolé, je considère que dans le domaine de l’aviation de transport il n’a pas de compétence lui permettant d’écrire quoi que ce soit. Un superbe voltigeur, sans aucun doute, mais chacun chez soi et les vaches seront bien gardées. En ce qui me concerne, le pilote de ligne aux 15000 hdv que je suis n’a aucune compétence en matière de voltige, aussi me garderai-je bien d’émettre un quelconque commentaire au sujet d’une compétition de voltige ou de la bonne réalisation ou non d’une figure.

    A bon entendeur….

    DC

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Je rejoins ce qui a déjà été mentionné plus bas: si on voulait faire une analyse rigoureuse de la contribution de l’humain aux résultats de la sécurité aérienne, il serait bon de ne pas oublier les situations à priori désespérées qui ont été sauvées par un facteur chance certes, mais également et peut-être surtout grâce à la présence d’un équipage compétent et bien entraîné.
    -Le B747-200F d’ Evergreen qui avait perdu (au sens propre) un moteur au décollage d’Anchorage en traversant de la turbulence sévère à 3000′, cet incident provoquant l’arrachage d’une bonne partie du bord d’attaque de l’aile et une dégradation aérodynamique jamais imaginée,
    -Le B707F qui s’était posé en catastrophe à Istres en 1992 suite à un incident analogue,
    -Et le plus médiatisé Cactus 1549 sur la rivière Hudson en janvier 2009, qu’il serait peut-être bon de déjà rappeler à certains beaux esprits à la mémoire sélective…
    -Etc, etc, la liste est tout sauf exhaustive.

    En tous cas le jour où les avions de ligne seront devenus des drones, pour moi il n’y aura pas d’hésitation: je me terrerai dans la Creuse….

    DC

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Les pilotes de ligne ont en général tendance à m’irriter surtout lorsqu’il font grève ou qu’ils affichent un réel mépris pour tout individu qui n’est pas au moins pilote.
    Cependant, je persiste à considérer que si des accidents sont imputables au facteur humain, il est bien dommage de ne pas pouvoir faire le compte de tous les accidents que ces messieurs ont évité grâce à leur habileté, leur rapidité de réaction et l’analyse rapide d’une situation.
    un automate aurait-il su faire atterrir l’A380 de Quantas ?

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Je suis assez d’accord avec Kenshin… l’analyse de JP Otelli n’est pas un expert en aviation commerciale, mais plutôt d’un raconteur d’histoires. Il fait ça très bien d’ailleurs… mais la vision simpliste qu’il communique au grand public devient limite agaçante.

    Ne serait ce que d’imaginer supprimer le facteur humain en supprimant le pilote… cette proposition est totalement naïve. Les avions seraient alors dirigés par des automatismes programmés par.. des humains. L’erreur humaine n’est pas interdite en aviation. Ce qui est interdit, c’est de ne pas la corriger quand elle a été détectée. Et pour corriger une erreur humaine en vol, rien ne vaut l’esprit humain. Les pilotes ont encore de beaux jours devant eux.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Je soutiens à fond Jean-Pierre Otelli et ses compétences techniques, ces détracteurs ne sont que jaloux et incapables d’en faire autant, que ce soit en matière de pilotage ou d’édition.
    @ Benoit : j’ai déjà essayé d’apprendre à voler à un chien… ça doit pouvoir se faire !!!

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    C’est malheureux de voir le business que fait ce M. Otelli autour d’un metier qu’il ne connait pas! Excellent voltigeur au demeurant, il n’en reste pas moins totalement étranger au metier de pilote de ligne dont il n’en connait ni les diplômes, ni les contraintes. Si ce monsieur savait de quoi il parlait, il saurait que le facteur humain est omnipresent, et est donc quasi toujours en cause dans des accidents. Mais il y a également 99,9% des accidents qui sont évités grace au facteur humain. Les drones ont un bilan catastrophique en comparaison.
    L’aviation n’a jamais été aussi sure depuis qu’elle existe, alors que le trafic ne cesse d’augmenter.
    Ce livre n’est qu’un livre à sensation de plus, cultivant la peur de l’avion chez les néophytes pour en faire de l’argent.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    le facteur humain n’analyse plus et n’enseigne plus rien, il juge et condamne. les observations sont justes mais les conclusions sont fausses. et la foule, imbécile, applaudie des deux mains. j’ai lu en introduction dans un autre bouquin qui parle aussi de facteur humain que dans quelques années les avions seront pilotés par un commandant de bord et d’un chien. le rôle du chien sera de surveiller le pilote pour qu’il ne touche á rien.
    on y arrive, patience.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    La nature meme de l’humain c’est de faire des erreurs quelque soit le metier. Dans celui de l’aérien tout est fait, plus que dans tout autre domaine, que ces erreurs soient réduites au maximum. Supprimer l’humain et faire confiance à ‘informatique!!! que tous les gens tentés par cette idée se posent la question combien de fois leur ordinateur, telephone autres appareil a planté et ils auront la réponse a leur question. En espérant qu’ils ne seront pas dans ce type d’avion car la conclusion est par contre elle évidente. Et surtout pour être complet il faudrait citer toutes les fois ou l’humain a rectifier l’erreur de la machine ou la non synthèse de la machine. Et ça c’est le metier du pilote au quotidien

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    L humain a ce defaut de vouloir supplanter ses congeneres par des machines plus par profit que par compassion. Taylor fut le premier illustrateur du travail a la chaine.
    Dans l histoire de l aviation, le domaine militaire a souvent devance le domaine civil.
    Le drone transporteur de passagers est pour demain….Sans greviste a bord.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Depuis longtemps maintenant on nous dit que 80% des accidents aériens sont dûs à des erreurs humaines.Ce chiffrage est relativement facile à faire compte tenu des moyens modernes d’investigation.Et donc certains souhaitent supprimer la présence humaine dans les cockpits……
    Je ne poserai qu’une question : combien d’accidents ont été évités ( parfois de justesse ) grâce à la présence de pilotes dans le cockpit et en dépit de tous les automatismes et systèmes de protection du domaine de vol???????
    Impossible de répondre bien sûr ! Mais ce nombre est certainement plus élevé que celui des accidents  » provoqués » par les erreurs humaines.
    Alors….On supprime les pilotes?
    Alors….Etes-vous prêts à monter dans un drône de 400 tonnes?

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Si monsieur Otelli est si spécialiste, et si pédagogue, pourquoi n’a t’il pas mis au point une méthode de sélection et de formation de pilotes afin d’éliminer toutes ces erreurs de pilotes peu fiables?
    Les autorités de tutelle et les compagnies seront certainement très heureuses de suivre ses recommandations.
    Il aura rendu un fier service á l’aviation civile.
    A moins qu’il ne soit capable que de raconter les histoires des autres et de blâmer des morts pour se faire chèrement payer.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Un point Godwin dés le premier commentaire ! Bravo on progresse !

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Qui acceptera de monter dans un avion sans pilote ?

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Un accident est toujours un accident de trop j’en conviens mais si seulement on pouvait faire le ratio Avion crashé/ Avion sauvé parce que l’humain était présent et compétent, La question du pilote à bord ne se poserait même pas.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Il est très facile de faire une série sur les facteurs humains des pilotes liés aux accidents … C’est d’ailleurs la N° 8 car cela a du succès auprès du public . Une série télévisée faite pour avoir de l’audience ne ferait pas mieux .Facile à faire , il suffit de savoir manier la plume.Il ne faut pas oublier que les accidents aériens ont toujours plusieurs causes qui s’ajoutant les unes aux autres aboutissent au crash.
    Pour la formation des pilotes , il existe des cours obligatoires sur les facteurs humains avec un recyclage prévu tous les ans.Des tests et des entretiens sont effectués dans les grandes compagnies pour éliminer les caractériels potentiels…etc.Pour moi et avec mon expérience personnelle ,je pense qu’il serait plus important d’être beaucoup plus vigilant sur la fatigue des pilotes , leur stress dans la gestion des problèmes avion au sol et une limitation plus sérieuse des étapes et heures de vol autorisées par l’Europe et les USA…Quant à l’avis provocateur de ce pilote d’essai qui n’a pas une expérience suffisante de l’exploitation en ligne et subit l’influence des ingénieurs des bureaux d’étude qui ont souvent le mépris envers les équipages , il rejoint l’attitude de certains constructeurs d’avion qui préfèrent bourrer leurs aéronefs de super automatismes mettant le pilote en dehors de la boucle, au mépris de l’interface homme /machine et abaissant la vigilance du pilote de par la méconnaissance des systèmes à gérer …..On a vu de par le passé ce que cela donnait…quelques beaux accidents mais on n’en parle surtout pas …!!!

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    « quand pourra-t-on supprimer à bord, cet humain peu fiable, cher payé, indiscipliné, gênant ? »
    Cette question ne fait que relayer une pensée courante. Il manque ici le plus important car ma réponse n’est pas donnée alors qu’elle l’est dans le texte.
    Elle tient en un mot : jamais !
    Attention aux raccourcis médiatiques.

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    C’est sans doute très instructif, mais à quand un livre sur les catastrophes qui ont été évitées grâce à la présence des pilotes qui ont pallié les défaillances de la technique ???? Ce serait sans doute moins « vendeur » ??

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Encore un livre qui démontre la difficulté du métier de pilote, d’où l’intérêt de sélections rigoureuses et d’un salaire attrayant pour avoir les meilleurs candidats.
    Quant à supprimer le pilote, qui fera ctrl+alt+suppr ?

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    Pourquoi laisser piloter des facteurs ? Des plombiers tant qu’on y est…

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  • J.P. Otelli dénonce une huitième série d’erreurs de pilotage
    « quand pourra-t-on supprimer à bord, cet humain peu fiable, cher payé, indiscipliné, gênant ? »

    Hitler n’aurait pas dit mieux.

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