A l’occasion de l’ouverture du musée Aéroscopia à Blagnac, les éditions toulousaines Privat proposent un beau livre à la gloire de Toulouse l’aéronautique et des hommes et des femmes qui incarnent l’industrie aéronautique locale. Le grand intérêt de cet ouvrage réside dans sa mise en page et son iconographie. Les textes d’Yves Marc sont illustrés par des dessins originaux de Sophie Binder. G.R.
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L’odyssée de l’aviation à Toulouse
Que certains se contentent de dire ou d'écrire ce que d'autres veulent bien leur raconter en fonction de leur intérêt, c'est leur problème.
Mais Yves MARC sur l'aviation et le chapitre AEROSCOPIA, non, trois fois non. Attribuer aux uns et aux autres une action, une intervention ou de la sympathie dans cette réalisation, il n'y a pas de problème et pas de quoi entamer une polémique. Mais passer sous silence le point de départ réel de l'idée, ne citer l'Association des Ailes Anciennes Toulouse qu'incidemment et limiter le rôle de son créateur en se contentant de reprendre les quelques mots d'une déclaration qui peut paraître ambiguë voire mesquine sur la propriété des avions exposés paraît à la fois injuste et pas conforme à la vérité historique.
Alors redisons le, l'idée n'a ni vingt ans ni trente ans: après y avoir pensé depuis plusieurs mois, Jean François BRUNA ROSSO a créé il y a TRENTE CINQ ANS avec Daniel HARTMANN, Gérard BOYE et Claude TRANIER ( que ceux qui sont venus très vite les rejoindre ne s'offusquent pas de ne pas être cités) l'association avec pour objectif d'exposer au public des avions anciens conservés et restaurés. Ils s'y sont attelés tout de suite sans tergiverser et, heureusement, sans trop se poser de questions. L'idée a prospéré et rallié d'autres partisans. La dimension a dépassé les possibilités des initiateurs mais ce n'est quand même pas un hasard si sur les 22 machines "permanentes" exposées dans le grand hall du musée 19 sont mises à disposition par l'association Ailes Anciennes Toulouse.
L'objectivité est-elle si dérangeante qu'on s'en affranchisse ?