Robert Piché, un pilote pas ordinaire… © JPO
Le 24 août 2001, le vol TS-236 d’Air Transat Toronto-Lisbonne effectué en A330-200 tombe en panne sèche au-dessus de l’Atlantique. Robert Piché réussi un mémorable vol plané de 185 kilomètres et pose son avion sur la piste de l’aéroport de Lajès sur l’île de Terceira aux Açores. L’histoire avait fait alors le tour du monde. Aujourd’hui, c’est l’histoire de Robert Piché qui est publiée en France : sa vie, ses débuts, ses descentes en enfer et en prison, ses drogues et … ses gloires.
Ce sont donc les Editions JPO, sous la plume de Pierre CayouettePierre Cayouette est auteur-journaliste. Robert Pichet l’a rencontré « un peu par hasard » lors d’un salon du livre de Montréal en 2001., qui viennent de publier le récit de Robert Piché « Panne au-dessus de l’Atlantique, de la prison aux commandes d’un Airbus … Le destin extraordinaire de Robert Piché » L’édition canadienne du livre s’est déjà vendue à plus...
10 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
C’est un « exploit » qui ce doit de figurer à la rubrique erreurs et incidents dans info Pilote
Grosse erreur de jugement apres verification du plein ( confondre livre et kilog de la part du commandant c’est une faute lourde, qui merite la suspension de licence…
En Aeroclub la sanction serai tres lourde ( meme sans accident)
Certains « parfaits » semblent encore oublier l’adage de base suivant : il n’y a pas de bons mais que de « vieux » pilotes …surtout avec 350 pèlerins à bord. Ok il a eu sa vie , a payé ses forfaits, pourtant pour l’avoir entendu sur les ondes il n’a jamais lâché la corde en passant son temps à pleurnicher sur son sort. Il n’était pas responsable de la cause première de cet incident grave et personnellement je préfère encore monter à bord avec un cocher bardé de son expérience « colorée », qu’un parfait sentencieux bien propret dont le sens de l’air, en ce qui le concerne, reste hélas à prouver.
Reste que les éditions JPO, on peut le regretter, à la réputation son beurre dans le sensationnalisme aéronautique (et surtout ses catastrophes) et que ce récit de vie tout court eut mieux valu de passer ailleurs…
Un bon pilote aurait décelé la panne bien avant et n’aurait pas eu à « planer »… Il est étrange de glorifier ce qui n’est qu’un énorme coup de chance après une mauvaise interprétation des symptomes et une conduite de vol peu professionnelle… La fuite de carburant aurait dû être détectée bien avant, et rien de dramatique ne se serait passé.
Ainsi va la « gloire » ! Etonnant !!!
Je n’aurais pas mieux dit… Balancer bêtement son jet fuel en plein vol et être traité en héro pour avoir finalement assuré les conséquences d’une non vigilance qui est pourtant le travail de base en croisière… Les médias battent décidément mal le rappel des faits.
Il est très facile d’émettre des critiques après coup, de tirer des conclusions quand on a jamais été confronté à un tel cas de figure, alors vos commentaires sont inutiles, demain si un tel scénario catastrophe vous arrivais pas forcément en avion, mais en voiture, en bateau ou autre on verra bien de quoi vous êtes capable et c’est pas des écrits et des procédures qui viendront vous sauver !!!
Désolé mais on ne me fera pas m’intéresser plus à ce personnage (trafic de drogue, débauche …) Si l’industrie du transport aérien (au Canada ?) accepte ça c’est qu’elle est tombé bien bas
Il a purgé sa peine, il s’est réhabilité, il a eu la chance d’habiter un pays où l’on redonne une 2e chance à ceux qui ont eu une faiblesse, et visiblement il n’a pas démérité ! Mais ce n’est pas assez et ce n’est évidemment pas avec quelqu’un comme vous qu’il l’aurait eue.
Car il est plus que certain que vous êtes parfait et sans défaut, un surhomme en somme. Quand on prend un pseudo en langue étrangère et si évocateur, on voit bien que vous êtes serein et accompli. Un peu comme le commissaire Javert avec le réprouvé Jean Valjean des Misérables en somme.Vous ne voyez pas le parallèle avec ce « débauché » ?
J’aimerais bien savoir si les moeurs qui sont en pratique dans votre industrie du transport aérien est plus morale ?? Si vous aviez pris le temps de vous intéresser a CE personnage, comme vous dites si bien, vous sauriez que c’est l’industrie aérienne française qui lui a donnée sa deuxième chance…
Un titre aussi ambigue que le destin de l’auteur pilote déjà bien avant son incarcération.Un téléfilm canadien a été réalisé il y a quelques années. Il raconte l’histoire de ce pilote aux prises avec ses démons.Un personnage qui a frôlé la mort auprès des narcotrafiquants puis a finalement été sauvé par l’ange gardien de l’aviation toujours resté près de son coeur.
Pichet de rouge ? Pichet de rose ?