Accueil » Culture Aéro – brèves » Les fondamentaux du calcul mental

Les fondamentaux du calcul mental

La réforme de l'ATPL(A) EASA entrera en vigueur le 31 janvier 2022. Les ATO seront chargés de faire passer le certificat 100 KSA. © Cépaduès

La réforme de l'ATPL(A) prévoit un nouveau certificat, le 100 KSA, dans le cursus de formation des pilotes de ligne. L'EASA estime qu'il permettra de mieux travailler en équipage. Romain Dupuis signe aux éditions Cépaduès un ouvrage permettant de se préparer en vue de l'obtention du nouveau certificat en ATO.

Au 31 janvier 2022, les organismes de formations de pilote de ligne devront mettre en place un nouveau module théorique pour l’obtention de l’ATPL. Le 100 KSA (Knowledge, Skills and Attitude, Connaissance, Compétences et attitude) a pour objectif d’apprendre aux futurs pilotes des compétences, un comportement et un savoir-être pour leur permettre de mieux travailler en équipe.

Dans ce nouveau certificat, des travaux de groupe, des exposés à l’oral, des exercicespratiques seront menés par les étudiants pilotes. Un examen final attestera...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

7 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Lamentable. On continue à charger la bourrique pour obtenir un brevet théorique alors que le corps médical peut anéantir une carrière pour un oui ou pour un non. Est-ce que cela va changer quelque chose, lorsqu’un pilote va mettre le manche sous le vent au lieu de le mettre dans le vent lors d’un décollage par vent de travers? C’est du vécu. Si on ne sait pas que sur un plan de 3 °, on perd 300 ft par Nm, on sera incapable de faire une approche classique, et on sera boulé lors du contrôle simu ou du contrôle en ligne. Est-ce que cela va changer quelque chose, lorsqu’un pilote est incapable de faire un ILS manuel sans directeur de vol jusqu’aux minima cat 1 en N-1 moteurs? Ce sont encore des technocrates qui imposent leur point de vue, alors qu’ils n’y connaissent rien dans les contraintes du pilotage. Tant mieux, il y aura de moins en moins de candidats pilotes.

    Répondre
  • par Jean-Luc soullier

    aaaah le temps de la facette aérée! toute une époque. Si on expliquait ça aux types en poste aujourd’hui ça les surprendrait je crois…

    Répondre
  • par Jean-Luc soullier

    je peux vous faire un exposé sur la méthode X si vous voulez 🙂

    Répondre
    • J’ai passé le PL dans les années 80 ,au programme il y avait encore le calcul du vent avec la « méthode du colonel Renard ».
      C’était grandiose.

      Répondre
  • Je suis FI en ATO, ne serais-ce que pour le PPL(A) , je contate que depuis quelques années le niveau en calcul mental des ados est devenu lamentable, incapables de calculer de tête la conso horaire ou un angle au vent !
    Cela promet un nombre conséquent de posés en campagne.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.