« Antoine, nous avons voulu […] saisir tes regards. Nous sommes devenus tes visages, apprenant à lire sur chacune de tes rides et sur chaque grain de ta peau. Philippe s’est glissé dans ton ombre et ses traits de crayon ont épousé ceux de tes regards. Je me suis glissé dans tes mots. Et mes phrases ont restitué tes paroles. Il faut relire chacune de tes œuvres pour savoir à quel point tu es resté vivant, à quel point tu...