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Et la ligne vivra… Latécoère, 11 avril 1927

Pierre-Georges Latécoère.

A quoi a pu penser Pierre-Georges Latécoère, le 11 avril 1927, dans les heures qui ont précédé la cession de la Ligne à Marcel Bouilloux-Lafond ? Dans une fiction "plausible", Jacques Arnould a imaginé ce moment et raconte les événements qui ont conduit à cette décision.

Le 11 Avril 1927, Pierre Georges Latécoère, l’homme « sans qui la Ligne n’aurait pas existé », en proie à des tracas matériels et lassé par les difficultés qu’il rencontrait en Amérique du Sud dans l’exploitation de la prolongation de la ligne entre Rio et Récife, cède  la presque totalité des parts des Lignes Aériennes Latécoère à Marcel Bouilloux-Lafond, industriel et homme d’affaires français installé au Brésil. La suite est une autre histoire qui verra la naissance de l’Aéropostale et d’Air France...

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3 commentaires

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  • Bouillons vivait en France et était maire d,une ville de la somme si ma mémoire ne fait défaut . Je crois même qu’il était avocat ….!!
    Il y a laissé sa fortune suite aux entourloupettes purement Françaises ……!!

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  • de musique classique autant que de bonne chère ?
    ou plutôt de bonne chair ? quoique si la chair est bonne, elle sera chère.

    Répondre
    • Cher Monsieur JMB, je persiste et signe ! ….et vous livre ici la définition encyclopédique de « faire bonne chère » :
      Expression venant de chère, du latin cara, « visage, face ». Elle ne prend son sens actuel qu’au XVIIe siècle, le sens premier signifiant faire bonne figure, ou être aimable (« accueillant »), sens que l’on a conservé en anglo-normand dans le vocable cheer.

      Faire bonne chère \fɛʁ bɔn ʃɛʁ\ intransitif :Bien manger, faire ripaille, faire débauche de table. ex : « Cela fait bien longtemps que nous n’avions fait si bonne chère. »

      Bien qu’elle en ait aujourd’hui le sens, probablement à cause de l’homonymie, l’expression ne s’écrit jamais faire bonne chair.

      Certes nous autres rédacteurs ne sommes pas infaillibles, mais en ce qui me concerne j’essaie de ne pas trahir notre langue française… autant que faire se peut et quand j’ai un doute .. je vérifie !… ce que je vous engage vivement à faire cher monsieur JMB… tout en vous souhaitant d’excellentes fêtes de fin d’année autour d’une bonne table… pour y faire bonne chère… assurément ! Cordialement.
      Philippe Chetail – Aerobuzz.fr

      Répondre

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