© MeteoFrance
Elle n’est pas obligatoire dans la panoplie du pilote, mais il est dommage de se priver de ce qu’elle peut apporter en termes d’efficacité et surtout de sécurité dans le déroulement du vol à vue. D’autant qu’Alain Herbuel propose un mode d’emploi.
L’image satellitaire et radar donne du relief au dossier météo. Encore faut-il savoir où aller la rechercher et comment la lire. Cela s’apprend. « Même si l’exploitation des images satellitaires météo est plutôt réservée aux météorologistes, nous pouvons à notre niveau en tirer quelques lectures à forte valeur ajoutée. On vit très bien sans ces images, certes, mais une fois que l’on a franchi le pas, il devient vite difficile de faire sans… », affirme Alain Herbuel. A la lecture du nouveau...
5 commentaires
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Cher Ingénieur MTO, je suis l’éditeur de l’ouvrage et preneur de vos notes; nous avons fait procéder à de nombreuses relectures censées émaner de personnalités compétentes dans ce domaine. Mais nous sommes prêts à polir encore notre pierre. Vous avez en fin d’ouvrage une adresse mail indiquée. Nous prendrons avec beaucoup de soin vos remarques, critiques, suggestions. jean-pierre marson pour Cépaduès
Intéressant !
Bravo Super Tout ce qui va dans ce sens est bon a prendre …
« Securite » le Maitre mot !
Livre rempli d’approximations et de confusions, à se demander si l’auteur maitrise vraiment son sujet…
– Savoirs de haut vol ! –
Bonjour,
Sans doute le contenu de cette parution recèle des lacunes ou des simplifications dans lequel un homme de l’art, et j’allais dire du sérail, « ne retrouve pas ces petits ».
Aussi, et je suis le PPL qui se dit que d’une part que le besoin d’accès à des données (qui permettent de décider de la suite du vol en 30 secondes) existe pour un amateur, et que d’autre part, toute l’information est orientée sur le commercial en terme de présentation, d’ergonomie, ce que je peux comprendre également.
Que va-t-on faire de ces deux points :
– On continu à faire des bibles austères qu’il faut se réapproprier en tant qu’amateur ? Et se planter devant tant de complexité…
– On pense usage, et on commence par un bout (forcément imparfait) pour créer de nouveaux référentiels, avec l’indispensable dont l’amateur a besoin, et qui lui facilitera son expérience de pilote… ?
Au dela du FL 200, c’est forcément un autre monde qui demande d’autres compétences.
Quelqu’un a dit « On ne résout pas un problème avec l’état d’esprit qui a servi à le créer ». Il a vécu tous les quolibets et petites railleries de la part de ceux dont on a oublié le nom aujourd’hui.
Alors bravo messieurs les Ingénieurs, retournez à vos bibles, les amateurs aiment le vol, et utilisent une toute petite part de votre immense savoir.
Et c’est amplement suffisant !
PS : les experts de bonne volonté sont forcément les bienvenus pour s’attaquer au sujet, mais dans une attitude ouverte…