Jules Védrines à Narbonne en 1911, devant son Borel-Morane, dû au crayon de Raymond Saulnier. Production reprise et poursuivie, l’aéroplane devenant le Morane-Saulnier type A. [© coll. J. Molveau
La plupart des sociétés qui ont pignon sur aérodrome aujourd’hui se sont édifiées sur des firmes qu’elles ont englobées, et dont les noms chargés d’histoire ont malheureusement disparu. On peut regretter que des emblèmes prestigieux comme Zodiac ou Snecma se soient dissous au sein de Safran, ou bien – ce ne sont que des exemples – que Morane-Saulnier ne survive plus que dans le souvenir de certains du groupe Daher. Idem pour la Socata, qui déjà avait « repris les traditions »...
2 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Et bientôt Bombardier rejoindra ces avionneurs, juste un souvenir . La première erreur commise par leur dirigeant a été de démolir le sentiment d’appartenance, de tradition qui soudait une merveilleuse équipe. En coupant les possibilités des employés a gravir les échelons en engageant a l’externe les gestionnaire sans expériences en aéronautique, ils ont couper l’oxygène au poumon de la compagnie. Et de la, les mauvaise décisions, qui ont voit maintenant,son fatale. Ils doivent revenir à la case zéro, revendre la compagnie au ancien propriétaire.
Quel gâchis que de voir autant de fautes dans un si petit texte pourtant très accrocheur et d’une évidente pertinence…