Contrairement à Concorde, le programme A300B ne reposera que sur une seule chaine d'assemblage final. © Airbus
Répartir de manière équitable chaque élément du futur avion ne fut pas chose facile. Imposer une seule ligne d’assemblage final à Toulouse non plus. Ce fut le tour de force de Felix Kracht qui eut aussi l’idée d’approvisionner cette ligne par avion. La chance fut que le diamètre du fuselage de l’A300B était très légèrement inférieur à celui du lanceur Saturn de la NASA.