L'Académie de l'Air et de l'Espace ouvre ce colloque international au grand public et pas seulement aux experts ou étudiants du secteur aérien. © Académie de l'Air et de l'Espace
Pendant deux jours, climatologues, experts issus de divers secteurs industriels (énergie, aéronautique, transport…), mais aussi sociologues et économistes de plusieurs pays se succéderont de manière à éclairer les stratégies adoptées par les différents acteurs de l’aérien pour relever le défi du changement climatique.
L’aérien subit une forte pression sur sa capacité à réduire drastiquement son empreinte carbone d’ici à 2050. L’exigence qui pèse sur le transport aérien lui fournit toutefois une réelle opportunité de se réinventer, lui qui, depuis des décennies,...
3 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Même en interne, on arrivera bientôt à croire et faire croire que l’aviation est responsable à elle seule de tous les maux écologiques …
Il n’y en a plus que pour l’aviation verte et 2050 !
Cette communication très « politique » que l’on ne cesse de lire, va à l’inverse de la réalité des efforts faits depuis longtemps en matière environnementale et laisse justement penser que l’aérien, toutes activités confondues, est le vilain canard pollueur à qui il faut vite remplacer les ailes et qu’il faut re-penser …!
Cet empressement « vert » me fait craindre le pire pour les années à venir …
D’accord et en phase avec mon commentaire en réponse à Pilotaillon qui avait fait la promotion de ce colloque sur un autre débat.
Merci de ne pas « baisser les bras » face à cette pression culpabilisante insupportable, même si rien n’interdit aux ingénieurs de rėfléchir sereinement aux nouvelles possibilités qu’offrent les technologies de l’avenir pour améliorer encore l’empreinte de l’aérien sur le climat.
Oh, il ne faut pas craindre que l’avenir, mais le présent aussi déjà…