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Un matin de septembre 1943 dans le ciel de France – Poétique du ciel #6

La collection de podcast d'Aerobuzz. Chaque samedi à partir de 17h30, un nouvel épisode. © Aerobuzz.fr.

Dans « Le Grand Cirque », dont Gérard Maoui lit un extrait cette semaine, Pierre Clostermann témoigne et raconte. Tant par leur valeur littéraire que documentaire, ces « souvenirs d’un pilote de chasse français dans la R.A.F. » constituent un ouvrage de référence parmi les récits d’aviation de la Seconde Guerre mondiale.

 

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3 commentaires

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  • Bonjour,
    Par définition, ceux qui ont survécu à la guerre pour la raconter après s’en sont toujours sortis. Il n’est pas le seul (Dupérier…), on ne va quand même pas lui faire un procès !
    Ça n’a pas empêché ceux qui n’ont pas survécu d’écrire aussi (carnets de Rene Mouchotte, et bien sûr St Exupéry)…

    Répondre
  • J’ai entendu dire que Clostermann s’en sortait toujours, mais que beaucoup de ses coéquipiers ne rentraient pas à leur base : enthousiasmé par  » Le grand cirque » que j’ai lu plusieurs fois , cet avis m’a refroidi ! J’espère me tromper ?

    Répondre
    • On peut dire qu’il ne « prenait pas soin de ses équipiers »; Comment en prendre « soin » lors d’un combat aérien? j’aimerais apprendre…
      Et cela m’étonnerais qu’il ne se soit pas soucié de ses camarades de combat vu la façon dont il décrit les différentes pertes dans ses escadrons successifs … Je vous ferais aussi remarquer qu’il a effectué un grand nombre de missions avec Jacques Remlinger, qui est décédé en 2002…
      Sans compter les taux de pertes lors de son passage a la Wing 122… normal dans ce cas que quelques ailiers ne soit pas rentrés…

      Je considère plus que Clostermann a fait mentir des statistiques, et qu’avec un capital chance pareil, ils fallait bien que d’autres en ai moins (malheureusement)

      Répondre

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