Valérie André, alors capitaine, décorée par le général de Lattre de Tassigny. © DR
Martine Gay souhaite être la caisse de résonance des femmes pilotes qu’elle admire ; ce fut le cas des pilotes soviétiques des « sorcières de la nuit », où ses héroïnes étaient nombreuses. Cette fois-ci elle s’attache à une seule personne -Valérie André – mais va l’évoquer en la replaçant non seulement dans un double cadre historique et géographique, celui de la guerre d’Indochine, mais aussi en présentant son entourage, tel notamment le médecin-colonel Hantz qui préface l’ouvrage.
Elle n’hésite...