Le projet "Loyal Wingman" de Boeing se fait pour l’instant en coopération avec l’Australie, qui a de grands espaces à couvrir et pourrait trouver des avantages dans l’emploi d’appareils autonomes. Mais Boeing anticipe également d’importants besoins du côté du Pentagone… © Boeing
C’est une maquette à l’échelle 1 dont on ne sait pas trop si elle préfigure une vraie ou une fausse bonne idée qu’a présentée Boeing au salon aéronautique d’Avalon, en Australie. Un appareil de combat sans pilote, mais aussi sans station de contrôle au sol, destiné à jouer l’ailier fidèle des avions de combat de nouvelle génération.
Les Américains envisagent des dizaines d’appareils « bon marché » capable de combattre aux côtés d’appareils pilotés dans les espaces aériens les plus contestés. Les appareils...
2 commentaires
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Avec un bon hacker le drone passera à l’ennemi ou se retournera contre son maître…nouvelles technologies nouvelles tactiques…
Sauf que cela peut éventuellement arriver si l’adversaire si prend longtemps à l’avance, détourner une attaque impromptue de drones nécessitera des moyens de brouillage »brut » qui se seront pas efficace si le dit drone est réellement autonome.
Et ils peuvent toujours servir à saturer la défense aérienne adverse comme l’ont fait les israéliens contre la Syrie au Liban il y a déjà 37 ans (cela ne me rajeunit pas…).
Et franchement, tout le monde se m’est aux drones, chinois, russes, et même iraniens et pakistanais sans compter les bricoleurs du dimanches voir les incidents à l’aéroport de Londres tantôt , donc si tout ce beau monde se hacker entre eux.