Les drones stratégiques ouvrent la marche, bien calés sur la piste, devant les B-52 dont les moteurs tournent. Remboursez ! © US Air Force
Le 13 avril 2020, la base d’Andersen, sur l’ile de Guam, y est allée de sa démonstration de force avec un Elephant Walk rassemblant bombardiers lourds, ravitailleurs et drones stratégiques. Mais l’éléphant avançait-il vraiment ?
L’US Air Force s’est faite la spécialiste des Elephant Walk, ces démonstrations de force faites pour rassembler simultanément un grand nombre d’aéronefs sur les pistes de décollage. Mais le dernier, organisé nous dit-on pour montrer à la Chine que les Etats-Unis ne sont pas encore abattus par le Covid-19, avait un goût étrange.
On avait pourtant envie de crier au génie devant cet assemblage qui a placé à la queue leu leu sur la piste de Guam un hélicoptère MH-60S, un drone RQ-4 Global Hawk, un drone MQ-4C Triton, cinq bombardiers B-52 et une demi-douzaine de ravitailleurs KC-135. Mais ô désespoir, en regardant les photos d’un peu plus près, on s’aperçoit que les drones sont bien installés dans leurs cales.
L’éléphant ne marche pas, il est immobile. Le drones n’ont-ils pas été tractés sur la piste pour ce qui ne serait alors que la mise en scène d’une mise en scène ? La Chine tremble devant cette mise en abyme ! F.L.
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Les américains ont l'air d'avoir oublié que c'est en concentrant ainsi au grand jour le fleuron de leur arsenal maritime qu'ils ont perdu en trois heures la moitié de leur flotte, à Hawaï, un certain sept décembre 1941...
Sauf que ces mêmes étazuniens disposent aujourd'hui d'un arsenal "significatif" de surveillance optiques, radio, web...
Et des mesures de protection appropriées certainement.